Petite histoire contée par frère Anthelme
« Il y avait sur terre un moine très solide, très pur, parfait. Impossible de tenter cette âme. Tous les diablotins s’y étaient cassé les dents et arrivaient bredouilles chez Lucifer. Mais un discret petit diable déclara : « J’ai une potion très efficace : une goutte le soir, une goutte le matin et l’âme ne peut que succomber. » En effet, dès le lendemain, le moine devint très agressif, voulant tuer tout le monde. Ce poison terrible, c’est la tristesse, une des pires tentations. Mais dans un ultime réflexe, le moine s’adressa à Marie, qui lui offrit alors un contrepoison : un tonneau de joie, que le moine répartit en trois part, une pour lui, une pour les autres, et la dernière, la plus importante, pour Dieu. »
Avant de prendre ma plume, je me suis agenouillée devant la statue de Marie: celle qui a donné à ma famille tant de preuves des maternelles préférences de la Reine du ciel ; je l'ai suppliée de guider ma main, afin de ne pas tracer une seule ligne qui ne lui soit agréable............
Comme le dit saint Paul:" Dieu a pitié de qui il veut, et il fait miséricorde à qui il veut faire miséricorde. Ce n'est donc pas l'ouvrage de celui qui veut , ni de celui qui court , mais de Dieu qui fait miséricorde." Thérèse de l'Enfant Jésus
Comme le dit saint Paul:" Dieu a pitié de qui il veut, et il fait miséricorde à qui il veut faire miséricorde. Ce n'est donc pas l'ouvrage de celui qui veut , ni de celui qui court , mais de Dieu qui fait miséricorde." Thérèse de l'Enfant Jésus
jeudi 30 juin 2011
mercredi 29 juin 2011
Dieu ,un ami du silence
Au commencement de la prière se trouve le silence.
Si nous voulons prier, il nous faut d'abord apprendre à écouter car, dans le silence du coeur, Dieu parle.
Et pour être en mesure de vivre ce silence et d'entendre Dieu, il nous faut un coeur limpide car il est seul capable de voir Dieu,
d'entendre Dieu, d'écouter Dieu.
Alors seulement,de la plénitude de nos coeurs, nous pouvons parler à Dieu. Et Il écoute.
Mais nous ne pouvons pas parler à moins d'avoir écouté, à moins d'être en contact avec Dieu dans le silence de nos coeurs.
La prière n'est pas censée nous torturer, nous mettre mal à l'aise , nous troubler.
Il faut s'en réjouir à l'avance: parler à mon Père, parler à Jésus, celui auquel j'appartiens, corps et âme, esprit et coeur.
Réfléchissons donc au silence de l'esprit, des yeux et de la langue.
Le silence de l'esprit et du coeur. La Vierge Marie" gardait précieusement tous ses souvenirs et les méditait en son coeur".
Ce silence la rapprochait de notre Seigneur de sorte qu'elle n'a jamais eu à regretter quoi que ce fût.
Rappelez-vous ce qu'elle fit quand saint Joseph fut troublé. Un seul mot de sa part aurait dissipé tout soupçon,
mais elle ne le prononça pas et c'est le Seigneur Lui-même qui accomplit le miracle d'attester son innocence.
Si seulement nous étions aussi convaincus de la nécessité du silence! Je crois qu'alors la voie vers l'union intime avec Dieu serait bien dégagée.
Puis nous avons le silence des yeux, celui qui nous aidera toujours à voir Dieu.
Nos yeux sont comme deux fenêtres par lesquelles , le Christ ou le monde parviennent jusqu'à nos coeurs.
Il nous faut souvent beaucoup de courage pour les garder clos.
Ne disons-nous pas souvent :"Si seulement je n'avais pas vu telle ou telle chose !"
Et cependant nous nous donnons si peu de peine pour surmonter le désir de tout voir.
Par le silence de la langue, nous apprendrons beaucoup: à parler au Christ, à rester joyeux en tout temps et à avoir quantité de choses à dire.
Le Christ nous parle par l'intermédiaire d'autres personnes et, lorsque nous méditons, Il nous parle directement.
Dieu est ami du silence.
Nous avons soif de trouver Dieu, mais Il ne se laisse découvrir ,ni dans le bruit ni dans l'agitation.
Voyez comme la nature, les arbres, les fleurs et l'herbe croissent dans un profond silence.
Voyez comme les étoiles , la lune et le soleil se déplacent en silence.
Plus nous recevons dans une prière silencieuse, plus nous pouvons donner dans notre vie active.
Le silence nous donne un regard neuf sur toutes choses.
Nous avons besoin de ce silence afin de toucher les âmes.
L'essentiel n'est pas dans ce que nous disons, mais dans ce que Dieu nous dit et dans ce qu'Il transmet par notre intermédiaire.
C'est en silence que toujours Jésus nous attend.
Dans ce silence, Il nous écoutera; c'est là qu'Il parle à nos âmes et c'est là que nous entendrons sa Voix.
Dans ce silence, nous trouverons une énergie nouvelle et une véritable unité.
L'énergie de Dieu sera nôtre pour bien accomplir toutes choses dans l'unité de nos pensées avec les Siennes,
l'unité de nos actions avec les Siennes, de notre vie avec la Sienne.
Mère Teresa
Si nous voulons prier, il nous faut d'abord apprendre à écouter car, dans le silence du coeur, Dieu parle.
Et pour être en mesure de vivre ce silence et d'entendre Dieu, il nous faut un coeur limpide car il est seul capable de voir Dieu,
d'entendre Dieu, d'écouter Dieu.
Alors seulement,de la plénitude de nos coeurs, nous pouvons parler à Dieu. Et Il écoute.
Mais nous ne pouvons pas parler à moins d'avoir écouté, à moins d'être en contact avec Dieu dans le silence de nos coeurs.
La prière n'est pas censée nous torturer, nous mettre mal à l'aise , nous troubler.
Il faut s'en réjouir à l'avance: parler à mon Père, parler à Jésus, celui auquel j'appartiens, corps et âme, esprit et coeur.
Réfléchissons donc au silence de l'esprit, des yeux et de la langue.
Le silence de l'esprit et du coeur. La Vierge Marie" gardait précieusement tous ses souvenirs et les méditait en son coeur".
Ce silence la rapprochait de notre Seigneur de sorte qu'elle n'a jamais eu à regretter quoi que ce fût.
Rappelez-vous ce qu'elle fit quand saint Joseph fut troublé. Un seul mot de sa part aurait dissipé tout soupçon,
mais elle ne le prononça pas et c'est le Seigneur Lui-même qui accomplit le miracle d'attester son innocence.
Si seulement nous étions aussi convaincus de la nécessité du silence! Je crois qu'alors la voie vers l'union intime avec Dieu serait bien dégagée.
Puis nous avons le silence des yeux, celui qui nous aidera toujours à voir Dieu.
Nos yeux sont comme deux fenêtres par lesquelles , le Christ ou le monde parviennent jusqu'à nos coeurs.
Il nous faut souvent beaucoup de courage pour les garder clos.
Ne disons-nous pas souvent :"Si seulement je n'avais pas vu telle ou telle chose !"
Et cependant nous nous donnons si peu de peine pour surmonter le désir de tout voir.
Par le silence de la langue, nous apprendrons beaucoup: à parler au Christ, à rester joyeux en tout temps et à avoir quantité de choses à dire.
Le Christ nous parle par l'intermédiaire d'autres personnes et, lorsque nous méditons, Il nous parle directement.
Dieu est ami du silence.
Nous avons soif de trouver Dieu, mais Il ne se laisse découvrir ,ni dans le bruit ni dans l'agitation.
Voyez comme la nature, les arbres, les fleurs et l'herbe croissent dans un profond silence.
Voyez comme les étoiles , la lune et le soleil se déplacent en silence.
Plus nous recevons dans une prière silencieuse, plus nous pouvons donner dans notre vie active.
Le silence nous donne un regard neuf sur toutes choses.
Nous avons besoin de ce silence afin de toucher les âmes.
L'essentiel n'est pas dans ce que nous disons, mais dans ce que Dieu nous dit et dans ce qu'Il transmet par notre intermédiaire.
C'est en silence que toujours Jésus nous attend.
Dans ce silence, Il nous écoutera; c'est là qu'Il parle à nos âmes et c'est là que nous entendrons sa Voix.
Dans ce silence, nous trouverons une énergie nouvelle et une véritable unité.
L'énergie de Dieu sera nôtre pour bien accomplir toutes choses dans l'unité de nos pensées avec les Siennes,
l'unité de nos actions avec les Siennes, de notre vie avec la Sienne.
Mère Teresa
mardi 28 juin 2011
Ma conception est due à ............sa compassion !!!
Cette existence est preuve que Dieu n'est que Vie , parce que qu'Amour.
Il ne peut pas s'empêcher de donner la vie , parce qu'Il ne peut rien faire d'autre qu'aimer !!!
Mais le plus bouleversant encore : s'Il m'a donné la vie ainsi , alors même qu'il savait que je naîtrais marqué par le péché qui blesse toute l'humanité , c'est qu'Il savait aussi qu'un jour , son pardon l'emportera sur tous mes péchés.
S'Il m'a fait exister dans un monde à ce point corrompu par la mort , c'est qu'Il savait aussi qu'un jour sa Vie aura le dernier mot en moi.
S'Il a voulu ; malgré tous les risques de dérapage , d'échecs en cours de route impliqués par ma liberté , c'est qu'il y a 99% de chances que j'arrive , tout de même et malgré tout , au Ciel !!!
En sens contraire , j'ose la question ; franchement m'aurait-Il donné l'existence , si vraiment il y avait des chances maximum pour que j'aboutisse en enfer ??
Que je sois à jamais vaincu par le péché , le mal ,la mort ??
Le don même de la vie est le signe le plus percutant qui soit de sa victoire , et donc de la mienne , sur le péché et sur la mort .
Ma seule existence est donc signe de sa victoire !!!
En me donnant la vie , Il a misé d'avance sur le meilleur dont je suis capable , avec sa grâce .
En me faisant exister dans un monde de péché , Il m'a comme pardonné d'avance .
Cela veut dire : je suis né non seulement d'un amour , mais déjà d'un Amour de miséricorde !!!
C'est le soir même de la chute originelle que l'Amour s'est mué en miséricorde.
Ma conception est donc preuve de sa compassion !!!!
Daniel-Ange
Il ne peut pas s'empêcher de donner la vie , parce qu'Il ne peut rien faire d'autre qu'aimer !!!
Mais le plus bouleversant encore : s'Il m'a donné la vie ainsi , alors même qu'il savait que je naîtrais marqué par le péché qui blesse toute l'humanité , c'est qu'Il savait aussi qu'un jour , son pardon l'emportera sur tous mes péchés.
S'Il m'a fait exister dans un monde à ce point corrompu par la mort , c'est qu'Il savait aussi qu'un jour sa Vie aura le dernier mot en moi.
S'Il a voulu ; malgré tous les risques de dérapage , d'échecs en cours de route impliqués par ma liberté , c'est qu'il y a 99% de chances que j'arrive , tout de même et malgré tout , au Ciel !!!
En sens contraire , j'ose la question ; franchement m'aurait-Il donné l'existence , si vraiment il y avait des chances maximum pour que j'aboutisse en enfer ??
Que je sois à jamais vaincu par le péché , le mal ,la mort ??
Le don même de la vie est le signe le plus percutant qui soit de sa victoire , et donc de la mienne , sur le péché et sur la mort .
Ma seule existence est donc signe de sa victoire !!!
En me donnant la vie , Il a misé d'avance sur le meilleur dont je suis capable , avec sa grâce .
En me faisant exister dans un monde de péché , Il m'a comme pardonné d'avance .
Cela veut dire : je suis né non seulement d'un amour , mais déjà d'un Amour de miséricorde !!!
C'est le soir même de la chute originelle que l'Amour s'est mué en miséricorde.
Ma conception est donc preuve de sa compassion !!!!
Daniel-Ange
lundi 27 juin 2011
Splendeur jaillie du sein de Dieu
Lumière née de la lumière,
Avant que naisse l’univers
Tu resplendis dans les ténèbres.
Nous t’adorons, Fils bien-aimé,
Objet de toute complaisance ;
Le Père qui t’a envoyé
Sur toi fait reposer sa grâce.
Pour tous les hommes de ce monde ;
Tu es la source de la vie
Et la lumière véritable.
À toi, la gloire, ô Père saint,
À toi, la gloire, ô Fils unique,
Avec l’Esprit consolateur,
Dès maintenant et pour les siècles.
AMEN
dimanche 26 juin 2011
aujourd'hui ..............
Sainte Thérèse de Lisieux : une mère spirituelle !
Dimanche 26 juin 2011
(P 208, § 1)
Dans les plus petites choses comme dans les grandes, le Bon Dieu donne le centuple dès cette vie aux âmes qui pour son amour ont tout quitté.
Dimanche 26 juin 2011
(P 208, § 1)
Dans les plus petites choses comme dans les grandes, le Bon Dieu donne le centuple dès cette vie aux âmes qui pour son amour ont tout quitté.
samedi 25 juin 2011
Mon prêtre, par Thierry Bizot
J’ai longtemps été sévère avec les prêtres et l’Eglise en général.
Aujourd’hui encore, même si je me sens un vrai catholique (qui veut dire « universel »), il me reste des vestiges de méfiance ; cette méfiance me rapproche d’ailleurs des catholiques non pratiquants qui se montrent parfois hostiles à l’Eglise, lui reprochant avec véhémence toutes sortes de choses plus ou moins justifiées, mais qui se résument souvent à un amour déçu avec cette même Eglise, l’Eglise de leur enfance. Quand ils viennent me parler, ils sentent que je peux les comprendre, que je ne vais pas essayer de les écraser par des arguments bien sentis, ou de les convaincre, mais simplement les écouter, sans les juger.
Je crois que cette méfiance m’est venue d’une déception des prêtres de mon enfance. Je n’ai sans doute pas eu la chance d’en rencontrer un qui m’ait marqué, touché, ému. Ils étaient là, je les respectais, confusément, sans trop savoir pourquoi. Si, ils avaient une relation particulière avec Dieu, ce grand inconnu représenté sur le plafond de l’église par un peintre naïf et peu avare de couleurs criardes.
Plus tard je suis sorti de l’Eglise, du « système », pour voler, du moins le croyais-je, de mes propres ailes, dans un grand élan d’émancipation.
Quand Jésus est entré dans ma vie, bien plus tard, j’ai retrouvé le chemin de la messe dominicale. J’étais fraîchement ému de ma relation personnelle avec Jésus, qui m’émerveillait, me mettait en joie.
Dans l’euphorie de mes retrouvailles avec Jésus (un peu comme celles du fils prodigue qui revient au bercail), j’ai accordé une plus grande indulgence aux prêtres qui se succédaient les dimanches. J’ai cessé de les juger.
Alors Jésus m’a fait un nouveau cadeau. Il m’a guidé, par l’entremise d’un ami, vers une petite paroisse que je connaissais mal, dans laquelle je n’étais même jamais entré, alors que c’était dans la salle paroissiale attenante que j’avais fait l’expérience de ma catéchèse. C’est une toute petite église, toute grise, toute laide. L’intérieur n’était pas beaucoup mieux. Jésus m’invite toujours dans des endroits qui me paraissent au premier abord assez sinistres.
Mais…
A l’intérieur, nous sommes invités par un vieux prêtre, un grand gaillard vaillant, malgré une démarche bancale qui incite ses paroissiens à suivre ses déplacements improbables avec une inquiétude discrète ; il a une grande tête aux cheveux ras et brousailleux, un long nez racé et un regard clair et pétillant, deux yeux qui frisent et voient tout. Il a deux mains immenses, qu’il déplace avec douceur. Quand il les pose sur notre front, on peut sentir sa bonté. Il a souvent des problèmes de micro imaginaires et des inquiétudes logistiques dont il fait un spectacle amusant. Il a beaucoup d’humour et de simplicité quand il nous donne son homélie. Il réussit à se faire écouter par tous.
Et puis surtout, on sent qu’il nous aime.
Depuis que je le connais, j’attends chaque dimanche avec impatience. C’est une joie que d’aller le retrouver.
Je tremble égoïstement à l’idée qu’il prenne sa retraite.
Alors aujourd’hui je voulais lui rendre un hommage et y inclure tous ces prêtres qui ne font pas seulement bien leur travail, mais qui chaque semaine nous donnent leur âme.
Aujourd’hui encore, même si je me sens un vrai catholique (qui veut dire « universel »), il me reste des vestiges de méfiance ; cette méfiance me rapproche d’ailleurs des catholiques non pratiquants qui se montrent parfois hostiles à l’Eglise, lui reprochant avec véhémence toutes sortes de choses plus ou moins justifiées, mais qui se résument souvent à un amour déçu avec cette même Eglise, l’Eglise de leur enfance. Quand ils viennent me parler, ils sentent que je peux les comprendre, que je ne vais pas essayer de les écraser par des arguments bien sentis, ou de les convaincre, mais simplement les écouter, sans les juger.
Je crois que cette méfiance m’est venue d’une déception des prêtres de mon enfance. Je n’ai sans doute pas eu la chance d’en rencontrer un qui m’ait marqué, touché, ému. Ils étaient là, je les respectais, confusément, sans trop savoir pourquoi. Si, ils avaient une relation particulière avec Dieu, ce grand inconnu représenté sur le plafond de l’église par un peintre naïf et peu avare de couleurs criardes.
Plus tard je suis sorti de l’Eglise, du « système », pour voler, du moins le croyais-je, de mes propres ailes, dans un grand élan d’émancipation.
Quand Jésus est entré dans ma vie, bien plus tard, j’ai retrouvé le chemin de la messe dominicale. J’étais fraîchement ému de ma relation personnelle avec Jésus, qui m’émerveillait, me mettait en joie.
Dans l’euphorie de mes retrouvailles avec Jésus (un peu comme celles du fils prodigue qui revient au bercail), j’ai accordé une plus grande indulgence aux prêtres qui se succédaient les dimanches. J’ai cessé de les juger.
Alors Jésus m’a fait un nouveau cadeau. Il m’a guidé, par l’entremise d’un ami, vers une petite paroisse que je connaissais mal, dans laquelle je n’étais même jamais entré, alors que c’était dans la salle paroissiale attenante que j’avais fait l’expérience de ma catéchèse. C’est une toute petite église, toute grise, toute laide. L’intérieur n’était pas beaucoup mieux. Jésus m’invite toujours dans des endroits qui me paraissent au premier abord assez sinistres.
Mais…
A l’intérieur, nous sommes invités par un vieux prêtre, un grand gaillard vaillant, malgré une démarche bancale qui incite ses paroissiens à suivre ses déplacements improbables avec une inquiétude discrète ; il a une grande tête aux cheveux ras et brousailleux, un long nez racé et un regard clair et pétillant, deux yeux qui frisent et voient tout. Il a deux mains immenses, qu’il déplace avec douceur. Quand il les pose sur notre front, on peut sentir sa bonté. Il a souvent des problèmes de micro imaginaires et des inquiétudes logistiques dont il fait un spectacle amusant. Il a beaucoup d’humour et de simplicité quand il nous donne son homélie. Il réussit à se faire écouter par tous.
Et puis surtout, on sent qu’il nous aime.
Depuis que je le connais, j’attends chaque dimanche avec impatience. C’est une joie que d’aller le retrouver.
Je tremble égoïstement à l’idée qu’il prenne sa retraite.
Alors aujourd’hui je voulais lui rendre un hommage et y inclure tous ces prêtres qui ne font pas seulement bien leur travail, mais qui chaque semaine nous donnent leur âme.
vendredi 24 juin 2011
Dieu s'est fait homme.........
fait homme
pour nous mériter
la grâce d’être
et nous donner
sa Vie divine
en partage.
Mère Julia
.
jeudi 23 juin 2011
Rembrandt peintre du Christ
Devant ce tableau de Rembrandt, nous voici spectateurs d’un instant regardés par le Christ… Et quel regard !...
De loin on reconnait le style de Rembrandt, sa palette aux teintes sombres et chaudes d’où émergent des halos de lumière jaune presque blanc… On s’approche et nous voici devant ce portait en buste aussi grand que nous : Il nous fait face et nous regarde intensément. Son visage lumineux semble un peu lointain mais les lèvres dessinent un léger sourire. Les autres tableaux autour nous permettent de saisir combien le peintre a voulu rendre pleinement humain ce Jésus : plusieurs portraits de jeunes hommes juifs installés dans la Hollande tolérante du XVIIème siècle sont présentés et on perçoit le « cousinage ».
Il est là sortant de l’ombre, détaché du temps pour être présent à l’aujourd’hui…
Il se tient droit les bras croisés. Sa main gauche est éclairée par une lumière qui semble sortir de la manche. On voit au-dessus de la manche le pouce droit lui aussi étonnamment éclairé : une petite forme lumineuse qui nous fait sortir du réalisme pour passer à la foi… Cette lumière sur les mains du Christ ne vient-elle pas de l’intérieur de Lui, de son cœur tout proche ?
Il y a la foule de l’exposition qui se presse d’un tableau à l’autre, ceux qui se collent aux tableaux, ceux qui se plantent devant, ceux qui tournent avec leur oreillette débitant les commentaires monocordes au sujet des tableaux les plus signifiants… Malgré l’attention de chaque visiteur, la foule fait bruit, brouhaha. Un peu de tournis devant le nombre d’œuvres présentées, devant la multiplicité des techniques employées et la virtuosité des artistes.
Et puis au bout d’un moment vous vous laissez absorber par le portrait et son énigme. Tout s’efface quelques instants pour regarder, se laisser toucher non seulement par l’art sublime du peintre mais par la Présence qui émane de l’œuvre.
Mystère de l’amour de Dieu : s’être fait homme et offrir aux hommes sa ressemblance. Mystère du peintre qui a médité toute sa vie ce grand mystère et nous offre par son génial talent de le percevoir…
De loin on reconnait le style de Rembrandt, sa palette aux teintes sombres et chaudes d’où émergent des halos de lumière jaune presque blanc… On s’approche et nous voici devant ce portait en buste aussi grand que nous : Il nous fait face et nous regarde intensément. Son visage lumineux semble un peu lointain mais les lèvres dessinent un léger sourire. Les autres tableaux autour nous permettent de saisir combien le peintre a voulu rendre pleinement humain ce Jésus : plusieurs portraits de jeunes hommes juifs installés dans la Hollande tolérante du XVIIème siècle sont présentés et on perçoit le « cousinage ».
Il est là sortant de l’ombre, détaché du temps pour être présent à l’aujourd’hui…
Il se tient droit les bras croisés. Sa main gauche est éclairée par une lumière qui semble sortir de la manche. On voit au-dessus de la manche le pouce droit lui aussi étonnamment éclairé : une petite forme lumineuse qui nous fait sortir du réalisme pour passer à la foi… Cette lumière sur les mains du Christ ne vient-elle pas de l’intérieur de Lui, de son cœur tout proche ?
Il y a la foule de l’exposition qui se presse d’un tableau à l’autre, ceux qui se collent aux tableaux, ceux qui se plantent devant, ceux qui tournent avec leur oreillette débitant les commentaires monocordes au sujet des tableaux les plus signifiants… Malgré l’attention de chaque visiteur, la foule fait bruit, brouhaha. Un peu de tournis devant le nombre d’œuvres présentées, devant la multiplicité des techniques employées et la virtuosité des artistes.
Et puis au bout d’un moment vous vous laissez absorber par le portrait et son énigme. Tout s’efface quelques instants pour regarder, se laisser toucher non seulement par l’art sublime du peintre mais par la Présence qui émane de l’œuvre.
Mystère de l’amour de Dieu : s’être fait homme et offrir aux hommes sa ressemblance. Mystère du peintre qui a médité toute sa vie ce grand mystère et nous offre par son génial talent de le percevoir…
LA PAIX
-
Extraits d'un sermon du père Slavko Barbaric
-
Savez-vous comment on perd la paix ? C'est lorsque l'on commence à ne plus voir qu'un seul aspect d'une personne, un aspect que l'on n'aime pas, sans tenir compte de la personne dans son ensemble.
Alors, on ne voit plus que ce point-là chez cette personne et la critique s'introduit en nous. On oublie tous les autres aspects. En se focalisant sur cette chose qui nous dérange, nous devenons aveugles, même si ce défaut, ou cette mauvaise habitude, ou même ce péché, est réel.
On perd de vous toute la beauté de la vie de cette personne, ce qu'elle a fait avant, ce qu'elle a donné, ce qu'elle a souffert, etc.
Nous entrons alors dans une vision limitée de l'autre qui est fausse. Nous devenons prisonniers de cette vision fausse. Nous perdons la gratitude ! Or, sans cette gratitude nous ne pouvons pas avoir la paix, car c'est la gratitude qui prépare l'arrivée de la paix.
-
Lorsque quelqu'un vient chez vous, si vous lui exprimez votre gratitude pour ce qu'il a fait et pour tous ses efforts, alors il lui sera difficile de garder de la rancune envers vous pour des petites choses, car vous aurez déjà pavé la route pour la paix et la réconciliation.
-
C'est si facile d'être dérangés dans nos rapports avec quelqu'un par un défaut qui nous semble insurmontable ! C'est parce que nous avons mis des limites à notre vision, à notre regard. Quand cela vous arrive, dites : Oh, je suis en train de perdre la paix !
-
Nous devons prendre une décision de base, celle d'être toujours reconnaissants et d'avoir en toutes circonstances, pour toutes choses, un regard qui reconnaît ce que les autres font pour nous, qui reconnaît ce que Dieu fait pour nous et… même ce que Dieu fait pour nous à travers les autres !
Aujourd'hui la pluie me gêne-t-elle ? Bogu hvala ! (Merci à Dieu !). Certes, la pluie dérange mes plans d'aujourd'hui mais, si Dieu l'envoie, c'est peut-être que la terre se prépare à donner son fruit pour que nous puissions manger l'été prochain ?
Je dois élargir ma vision et laisser jaillir l'action de grâce. Ma paix sera toujours restaurée par la gratitude !
mardi 21 juin 2011
Quand Jésus croise l'ange Gabriel .......
Voici ce que raconte une vieille histoire du Moyen Âge.
Le jour de l'Ascension, Jésus s'élève devant ses Apôtres et disparaît à leurs regards.
Ce qu'ils ne savent pas, c'est que ce jour-là, il croise l’archange Gabriel qui lui dit : «"Ah ! Quelle joie de te voir ! Mais qu’est-ce qui se passe sur la terre ? C'est un petit peu bizarre, tout est noir, tout est dans la nuit, je vois juste quelques petites lumières là-bas".
Jésus lui explique alors : "C'est la nuit sur la terre : c’est vrai. Mais compte bien les petites lumières ; il y en a douze C’est Marie, ma mère, et mes Apôtres, qui sont en train de prier au Cénacle. Et mon plan, une fois retourné chez mon Père, est d'envoyer de là-haut l'Esprit Saint. Alors, une fois que j'aurai envoyé l'Esprit Saint, tu verras : toute la terre va être embrasée. Les petites flammes qui sont là dans cette petite maison vont se répandre partout et toute la terre ne sera qu’un grand feu."
Le jour de l'Ascension, Jésus s'élève devant ses Apôtres et disparaît à leurs regards.
Ce qu'ils ne savent pas, c'est que ce jour-là, il croise l’archange Gabriel qui lui dit : «"Ah ! Quelle joie de te voir ! Mais qu’est-ce qui se passe sur la terre ? C'est un petit peu bizarre, tout est noir, tout est dans la nuit, je vois juste quelques petites lumières là-bas".
Jésus lui explique alors : "C'est la nuit sur la terre : c’est vrai. Mais compte bien les petites lumières ; il y en a douze C’est Marie, ma mère, et mes Apôtres, qui sont en train de prier au Cénacle. Et mon plan, une fois retourné chez mon Père, est d'envoyer de là-haut l'Esprit Saint. Alors, une fois que j'aurai envoyé l'Esprit Saint, tu verras : toute la terre va être embrasée. Les petites flammes qui sont là dans cette petite maison vont se répandre partout et toute la terre ne sera qu’un grand feu."
L’archange Gabriel, parce qu’il nous connaît bien (cela fait déjà quelques années qu’il nous suit), tire une tête un peu septique.. Et il demanda à Jésus : "Qu’est ce qui se passera si ton plan ne marche pas ?"
Le Christ n’a qu’un plan pour l’humanité : celui de l'Amour. Entrons dans son plan pour faire prier la terre de mille feux, telle que brillera la Jérusalem Céleste !
Petites Histoire et Paraboles extraites du livre « Parabole d’un curé de campagne » du Père Pierre Trevet
mercredi 15 juin 2011
Et toi , comment se fait-il que tu sois là?
Dieu a donc voulu être conçu comme toi et même ...avec toi.
Comme toi : c'est-à dire commencer son existence de la même manière que toi , à cette différence près , j'avoue qu'elle est de taille ! que la sienne est toute virginale , sans intervention masculine.
Avec toi, car mystérieusement, son humanité étant divine, il nous contient tous et chacun en lui.
Et par ailleurs , étant Dieu , et maintenant à jamais dans la gloire , c'est à dire au-delà du temps et de l'espace , il est présent à chaque évènement , donc à chaque conception d'enfant .
Donc à la mienne , à la tienne.
Voici venu le moment de te révéler un fabuleux mystère , dont sans doute personne ne t'a jamais parlé .
Ici , assieds-toi et attache ta ceinture!
Pour saisir ce qui suit , d'abord savoir ceci : parmi les milliards d'humains qui auront jamais existé depuis Adam et Eve , jusqu'au dernier enfant conçu avant la venue en gloire du Christ: pas deux comme toi !!!
Non, pas deux !!!! (même les jumeaux ) qui aient exactement même caractère , même tempérament , même visage , même regard , ce qui veut dire le même coeur et la même âme que toi !!!!
Ton code génétique?? Absolument , totalement , exclusivement original , et même premier de série.
Dieu ne fabrique pas en série .
Son Coeur n'est pas une usine.
Ses mains ne travaillent pas à la chaîne !!!
Tu te rends compte??? Non , tu n'es pas un numéro , pas une de ces brebis matriculées dans un troupeau!!!
Dieu ne peut avoir qu'un seul et unique " toi " car il n'a qu'un seul et unique Fils.
Et si tu ressembles à quelqu'un , c'est à lui seul.
Exclusivement .
Tu es irréductible à tout autre .
Stupéfiante merveille !!!!
Cela dit , voici la vérité qui ne cesse de me bouleverser ces derniers temps , vérité absolument décisive pour vivre: tu n'existerais même pas , s'il n'y avait eu , au moment de ta conception , une intervention directe et personnelle de Dieu pour te donner la Vie .
Oui , j'ose te le dire , que tu y crois ou non , toi aussi tu as été conçu du ......Saint-Esprit !!!
Bien sûr , d'une toute autre manière que le Seigneur Jésus ...Mais tout de même !!!
Autrement, comment rendre compte du fait suivant : voici que tout à coup se met à exister une personne qui n'a encore jamais existé jusque-là.
Et le comble : qui se met à exister pour toujours , toujours , toujours !!!!
D'emblée projetée sur orbite de vie éternelle.
Qui ne pourra plus jamais mourir.
Donc, une personne immortelle , comme Dieu lui-même!!!
Ce qui n'est pas le cas d'aucun animal , d'aucun végétal ou minéral.
Je pose la question : des créatures , laissées à leurs seules forces , peuvent-elles faire cela ????
Certes , mon corps peut mourir ( mais seulement pour un temps). Car je sais qu'un jour , il sera glorifié , comme le Corps de Jésus, au matin de Pâques , et comme celui de ma soeur et ma mère , Marie , quand son corps même a été enlevé au Ciel : qu'on le croie ou non , c'est ainsi !!!!
Et cette ultime métamorphose se fera par une intervention directe , personnelle du Saint-Esprit : ce sera la pentecôte finale de mon existence .
Je vis d'une pentecôte à l'autre : depuis celle de ma conception , à celle de ma résurrection.
Fabuleux !!
Prodigieux !!!
Phénoménal!!!!
DANIEL-ANGE
Comme toi : c'est-à dire commencer son existence de la même manière que toi , à cette différence près , j'avoue qu'elle est de taille ! que la sienne est toute virginale , sans intervention masculine.
Avec toi, car mystérieusement, son humanité étant divine, il nous contient tous et chacun en lui.
Et par ailleurs , étant Dieu , et maintenant à jamais dans la gloire , c'est à dire au-delà du temps et de l'espace , il est présent à chaque évènement , donc à chaque conception d'enfant .
Donc à la mienne , à la tienne.
Voici venu le moment de te révéler un fabuleux mystère , dont sans doute personne ne t'a jamais parlé .
Ici , assieds-toi et attache ta ceinture!
Pour saisir ce qui suit , d'abord savoir ceci : parmi les milliards d'humains qui auront jamais existé depuis Adam et Eve , jusqu'au dernier enfant conçu avant la venue en gloire du Christ: pas deux comme toi !!!
Non, pas deux !!!! (même les jumeaux ) qui aient exactement même caractère , même tempérament , même visage , même regard , ce qui veut dire le même coeur et la même âme que toi !!!!
Ton code génétique?? Absolument , totalement , exclusivement original , et même premier de série.
Dieu ne fabrique pas en série .
Son Coeur n'est pas une usine.
Ses mains ne travaillent pas à la chaîne !!!
Tu te rends compte??? Non , tu n'es pas un numéro , pas une de ces brebis matriculées dans un troupeau!!!
Dieu ne peut avoir qu'un seul et unique " toi " car il n'a qu'un seul et unique Fils.
Et si tu ressembles à quelqu'un , c'est à lui seul.
Exclusivement .
Tu es irréductible à tout autre .
Stupéfiante merveille !!!!
Cela dit , voici la vérité qui ne cesse de me bouleverser ces derniers temps , vérité absolument décisive pour vivre: tu n'existerais même pas , s'il n'y avait eu , au moment de ta conception , une intervention directe et personnelle de Dieu pour te donner la Vie .
Oui , j'ose te le dire , que tu y crois ou non , toi aussi tu as été conçu du ......Saint-Esprit !!!
Bien sûr , d'une toute autre manière que le Seigneur Jésus ...Mais tout de même !!!
Autrement, comment rendre compte du fait suivant : voici que tout à coup se met à exister une personne qui n'a encore jamais existé jusque-là.
Et le comble : qui se met à exister pour toujours , toujours , toujours !!!!
D'emblée projetée sur orbite de vie éternelle.
Qui ne pourra plus jamais mourir.
Donc, une personne immortelle , comme Dieu lui-même!!!
Ce qui n'est pas le cas d'aucun animal , d'aucun végétal ou minéral.
Je pose la question : des créatures , laissées à leurs seules forces , peuvent-elles faire cela ????
Certes , mon corps peut mourir ( mais seulement pour un temps). Car je sais qu'un jour , il sera glorifié , comme le Corps de Jésus, au matin de Pâques , et comme celui de ma soeur et ma mère , Marie , quand son corps même a été enlevé au Ciel : qu'on le croie ou non , c'est ainsi !!!!
Et cette ultime métamorphose se fera par une intervention directe , personnelle du Saint-Esprit : ce sera la pentecôte finale de mon existence .
Je vis d'une pentecôte à l'autre : depuis celle de ma conception , à celle de ma résurrection.
Fabuleux !!
Prodigieux !!!
Phénoménal!!!!
DANIEL-ANGE
vendredi 10 juin 2011
Nous voulons vivre l'unité
Nous voulons vivre l'unité
Rester ensemble à chaque instant.
surtout ne pas nous séparer,
Continuer d'aller de l'avant.
Tous ensemble, nous partageons l'amour du Seigneur,
L'adoration du Sauveur.
Tous ensemble, nous accueillons l'Esprit du Seigneur,
L'unité du Créateur.
Nous voulons te rester fidèle
Et devenir un même corps ;
travailler au lien de la paix,
Marcher toujours dans le même Esprit.
Nous reconnaissons nos différences,
En Dieu elles seront notre force.
Nous allons partager ensemble,
Chercher encore le royaume de Dieu
Esprit Saint,
mets aux coeurs de tous les croyants du monde
l’amour fraternel qui leurs permettra de se rencontrer
dans un esprit d’échange et de partage
au-delà de leurs différences.
Que chacune apprenne à découvrir les richesses de l’autre.
Esprit Saint,
apprends-nous à nous écouter mutuellement
avec patience et humilité,
pour que chacune de nos rencontres devienne un carrefour
où chacun reçoit autant qu’il donne,
même si nous venons de chemins très différents.
Esprit Saint,
donne-nous la force de la foi et rassemble-nous
dans une volonté commune d’évangélisation.
’’La bonne nouvelle est annoncée aux pauvres’’.
Apprends-nous la joie de la foi, de l’espérance,
de l’amour qui transforme le monde
et libère tout homme de ses pêchés,
de ses misères spirituelles ou matérielles.
Esprit Saint,
fais de chaque baptisé un rayon de ta lumière,
pour que le monde de l’an 2000
puisse découvrir ta présence et ton amour.
Le monde entier est mon village,
l’univers est ma paroisse :
pousse chacun vers le grand large,
vers la civilisation de l’amour
où ce qui nous rassemble nous libérera de ce qui nous divise.Prière de Jo , hier à l'Adoration, écho de la lecture et de l'Evangile du jour.........
jeudi 9 juin 2011
Méditer les 10 commandements
Méditer les 10 commandements de la Bible : se blottir dans les bras du Père
Le Seigneur nous a remis les commandements comme un chemin de miséricorde et de vie, que nous ne pouvons suivre sous son Esprit-Saint. Méditer les 10 commandements de la Bible nous pousse à contempler Jésus les accomplir pour nous parfaitement - jusque sur la Croix - et à regretter de ne pas suivre le Christ en toute chose sur ce chemin de la vie éternelle - de la Résurrection. En donnant ses commandements, Dieu nous dit : « Je suis le Seigneur qui t'a sauvé ».
1 « Je suis le Seigneur ton Dieu qui tai fait sortir du pays d'Égypte, de la maison de servitude tu n'auras pas d'autre Dieu que Moi » (EX 20,2)
Notre relation à Dieu : Quel temps donnons-nous à la prière, a l'adoration ? Quel usage faisons-nous de la confession de l'Eucharistie, des lieux (couples, famille, réunions fraternelles...) où nous pouvons apprendre à discerner le bien du mal ? N'avons-nous pas des idoles ?
2 «Tu ne prononceras pas le nom du Seigneur à faux » (EX 20,7)
Mon respect de Dieu : Comment parlons-nous de Dieu ? sans blasphémer ? sans l'accuser de tout ce qui va mal ? Au contraire, puis-je accueillir les événements de ma vie comme des bénédictions de Dieu ?
3 «Souviens-toi du jour du Seigneur pour le sanctifier» (EX 20.8-10)
Y a-t-il pour moi un «jour du Seigneur» ? La Messe du dimanche est-elle une nécessité pour moi ? Quel temps garder gratuitement pour le Seigneur, la famille, les autres?
4 «Honore ton père et ta mère» (EX 20,12)
Est-ce que je vis le respect jusqu'au bout ? L’obéissance jusqu’à pardonner à qui m’a blessé (qui est parfait ?) l’attention et l’écoute, y compris dans la famille de mon conjoint ? La vie sociale : Comment construisons-nous la société ? les critères de mes adhésions politiques ?
5 «Tu ne tueras pas» (EX 20,13)
Notre culture ne s'enracine plus sur le respect de la vie de l'avortement à l'euthanasie. En suis-Je complice, coupable par des silences, des mauvais conseils, des actes ? Me suis je engagé(e) dans le combat pour la vie ? Et en voiture ?
6 «Tu ne commettras pas d'adultère» (EX 20,14)
Dans mon couple, suis-je fidèle ? La sexualité nous ouvré-t-elle a l'accueil de la vie, ou conduit-elle a la contraception - Célibataire, est-ce que je rejoins la chasteté du Christ par mon regard, mes paroles, mes actions ? Tenues attitudes télévision... tant d'occasions de ne plus être transparent au Seigneur, à moi-même, aux autres.
7 «Tu ne voleras pas» (EX 20,15)
L'honnêteté, même dans le calcul de ses impôts, peut être coûteuse. Et par rapport à celui qui n'a rien, est-ce que Je ne le vole pas en gardant des biens égoïstement ? Le temps «perdu», n'est-il pas du temps «volé» ? Jusqu'où suis-je généreux ?
8 «Tu ne témoigneras pas faussement contre ton prochain » (EX 20,16)
Le mensonge, c'est de ne pas dire la vérité a celui qui a droit de la connaître. Nous avons à rester fidèle à la vérité à la réputation a laquelle chacun a droit, a l'honneur des outres Où plaçons-nous notre honneur personnel ? en Jésus ?
Le 9ème commandement «tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain» et le 10ème «tu ne convoiteras pas le bien de ton prochain» rejoignent le 6ème et le 7ème .
"Comme un horloger avec ses lunettes distingue les plus petits rouages d'une montre, avec les lumières du Saint-Esprit, nous voyons tout en grand: le Bien et le Mal...." Saint Curé d'Ars.
Le Seigneur nous a remis les commandements comme un chemin de miséricorde et de vie, que nous ne pouvons suivre sous son Esprit-Saint. Méditer les 10 commandements de la Bible nous pousse à contempler Jésus les accomplir pour nous parfaitement - jusque sur la Croix - et à regretter de ne pas suivre le Christ en toute chose sur ce chemin de la vie éternelle - de la Résurrection. En donnant ses commandements, Dieu nous dit : « Je suis le Seigneur qui t'a sauvé ».
1 « Je suis le Seigneur ton Dieu qui tai fait sortir du pays d'Égypte, de la maison de servitude tu n'auras pas d'autre Dieu que Moi » (EX 20,2)
Notre relation à Dieu : Quel temps donnons-nous à la prière, a l'adoration ? Quel usage faisons-nous de la confession de l'Eucharistie, des lieux (couples, famille, réunions fraternelles...) où nous pouvons apprendre à discerner le bien du mal ? N'avons-nous pas des idoles ?
2 «Tu ne prononceras pas le nom du Seigneur à faux » (EX 20,7)
Mon respect de Dieu : Comment parlons-nous de Dieu ? sans blasphémer ? sans l'accuser de tout ce qui va mal ? Au contraire, puis-je accueillir les événements de ma vie comme des bénédictions de Dieu ?
3 «Souviens-toi du jour du Seigneur pour le sanctifier» (EX 20.8-10)
Y a-t-il pour moi un «jour du Seigneur» ? La Messe du dimanche est-elle une nécessité pour moi ? Quel temps garder gratuitement pour le Seigneur, la famille, les autres?
4 «Honore ton père et ta mère» (EX 20,12)
Est-ce que je vis le respect jusqu'au bout ? L’obéissance jusqu’à pardonner à qui m’a blessé (qui est parfait ?) l’attention et l’écoute, y compris dans la famille de mon conjoint ? La vie sociale : Comment construisons-nous la société ? les critères de mes adhésions politiques ?
5 «Tu ne tueras pas» (EX 20,13)
Notre culture ne s'enracine plus sur le respect de la vie de l'avortement à l'euthanasie. En suis-Je complice, coupable par des silences, des mauvais conseils, des actes ? Me suis je engagé(e) dans le combat pour la vie ? Et en voiture ?
6 «Tu ne commettras pas d'adultère» (EX 20,14)
Dans mon couple, suis-je fidèle ? La sexualité nous ouvré-t-elle a l'accueil de la vie, ou conduit-elle a la contraception - Célibataire, est-ce que je rejoins la chasteté du Christ par mon regard, mes paroles, mes actions ? Tenues attitudes télévision... tant d'occasions de ne plus être transparent au Seigneur, à moi-même, aux autres.
7 «Tu ne voleras pas» (EX 20,15)
L'honnêteté, même dans le calcul de ses impôts, peut être coûteuse. Et par rapport à celui qui n'a rien, est-ce que Je ne le vole pas en gardant des biens égoïstement ? Le temps «perdu», n'est-il pas du temps «volé» ? Jusqu'où suis-je généreux ?
8 «Tu ne témoigneras pas faussement contre ton prochain » (EX 20,16)
Le mensonge, c'est de ne pas dire la vérité a celui qui a droit de la connaître. Nous avons à rester fidèle à la vérité à la réputation a laquelle chacun a droit, a l'honneur des outres Où plaçons-nous notre honneur personnel ? en Jésus ?
Le 9ème commandement «tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain» et le 10ème «tu ne convoiteras pas le bien de ton prochain» rejoignent le 6ème et le 7ème .
"Comme un horloger avec ses lunettes distingue les plus petits rouages d'une montre, avec les lumières du Saint-Esprit, nous voyons tout en grand: le Bien et le Mal...." Saint Curé d'Ars.
mercredi 8 juin 2011
Pour plaire à Jésus
Ce texte de Saint Antoine Marie Claret est écrit à la forme personnelle ; c'est Jésus qui parle à chacun de nous individuellement.
Le Père Antoine-Marie Claret (1807-1870) fut archevêque de Santiago de Cuba. Il a fondé la Société Missionnaire des Fils du Cœur Immaculé de Marie et a été canonisé en 1950).
PAROLES DE JÉSUS
Pour Me plaire, il n'est pas nécessaire d'avoir beaucoup d'instruction ; il suffit que tu M'aimes beaucoup. Parle-Moi avec simplicité, comme tu parlerais avec ton ami le plus intime.
As-tu quelque chose à Me demander pour quelqu'un ?
Dis-Moi son nom et ce que tu voudrais que Je fasse maintenant pour lui. Demande beaucoup ! N'hésite pas à demander. Parle-Moi avec simplicité et sincérité des pauvres que tu veux consoler, des malades que tu vois souffrir, des égarés que tu désires voir revenir sur le droit chemin. Dis-Moi au moins une parole pour chacun.
Et pour toi-même, n'as-tu pas besoin de quelque chose ?
Dis-Moi franchement que tu es peut-être orgueilleux, égoïste, inconstant, négligent... puis demande-Moi de te venir en aide dans le peu ou le grand nombre d'efforts que tu fais pour t'en sortir. N'aie pas honte ! Au Ciel, il y a beaucoup de justes, beaucoup de saints qui avaient exactement les mêmes défauts. Mais ils ont demandé humblement... et, peu à peu, ils se sont vus libérés de leurs défauts. Et n'hésite pas à prier pour ta santé et pour une heureuse issue de tes travaux, de tes affaires ou de tes études. Tout cela, Je peux te le donner et Je te le donne. Je désire que tu Me pries pour cela, si ce n'est pas préjudiciable à ta sanctification, mais la favorise et la soutient. Et aujourd'hui même, de quoi as-tu besoin ? Que puis-Je faire pour toi ? Si tu savais combien Je désire ardemment t'aider.
As-tu actuellement un projet ?
Expose-le Moi. Qu’est-ce qui te préoccupe ? Que penses-tu ? Que désires-tu ? Que puis-Je faire pour ton frère, pour ta sœur, pour tes amis, pour ta famille, pour tes supérieurs ? Que voudrais-tu faire pour eux ? Et pour ce qui est de Moi, n’as tu pas le désir que Je sois glorifié ? Ne voudrais-tu pas faire quelque chose de bien pour tes amis que tu aimes peut-être beaucoup, mais qui, peut-être, vivent sans penser à Moi.
Dis-Moi, qu'est-ce qui attire particulièrement ton attention aujourd'hui ? Que désires-tu le plus ardemment ? De quels moyens disposes-tu pour l'obtenir ? Si un projet échoue, dis-le-Moi ; Je te donnerai les raisons de l'échec. Ne voudrais-tu pas Me gagner à ta cause ?
Peut-être te sens-tu triste ou de mauvaise humeur ?
Raconte-Moi dans tous les détails ce qui t'attriste, ce qui t'a offensé, ce qui t'a blessé dans ton amour-propre, ce qui t'a humilié. Dis-Moi tout et bientôt tu parviendras au point où tu Me diras que tu pardonnes tout selon mon exemple, que tu oublies tout. En récompense, tu recevras Ma consolante Bénédiction. Peut-être as-tu peur ? Sens-tu dans ton âme cette détresse indéfinissable qui n'est pas justifiée, mais qui ne cesse pourtant de te déchirer le cœur ? Jette-toi dans les bras de la Providence ! Je suis avec toi, à ton côté. Je vois tout, J'entends tout, et Je ne t'abandonne pas un seul instant. Sens-tu l'abandon d'êtres qui auparavant t'aimaient bien mais qui maintenant t'ont oublié et s'éloignent de toi sans que tu en sois la cause ? Prie pour-eux, et Je les ferai revenir à ton côté, s'ils ne sont Pas un obstacle à ta sanctification.
Et n'as-tu pas peut-être une joie à Me faire partager ?
Pourquoi ne Me laisserais-tu pas partager ta joie ? Ne suis-Je pas ton ami ? Raconte-Moi ce qui a consolé ton cœur et ce qui t'a fait sourire depuis ta dernière visite chez Moi. Peut-être as-tu connu des surprises, peut-être reçu de bonnes nouvelles, une lettre, un signe d'affection ; peut-être as-tu surmonté une difficulté ; peut-être es-tu sorti d'une situation qui paraissait sans issue. Tout cela est mon Œuvre. Tu dois seulement Me dire : merci, mon Dieu !
Ne voudrais-tu pas Me promettre quelque chose ?
Je lis au fond de ton cœur. On peut facilement tromper les hommes, mais pas Dieu. Alors, parle-Moi tout à fait ouvertement. Es-tu vraiment fermement décidé à ne plus t'exposer à telle occasion de péché, à renoncer à telle chose qui t'a causé du tort, à renoncer à lire tel livre qui a excité ton imagination, à ne plus avoir de contact avec telle personne qui trouble la paix de ton âme ? Redeviendras-tu doux, aimable et complaisant avec telle personne que tu as considérée jusqu'ici comme un ennemi parce qu'elle a laissé échapper quelque chose contre toi. Eh bien ! Retourne maintenant à tes occupations habituelles, à ton travail, ta famille, tes études, mais n'oublie pas ce quart d'heure que nous avons passé ensemble. Garde autant que tu le peux silence, modestie, recueillement intérieur et amour du prochain.
Aime Ma Mère qui est aussi la tienne.
Et reviens de nouveau avec le cœur encore plus rempli d'amour, encore plus abandonné à Mon Esprit. Alors tu trouveras chaque jour dans Mon Cœur un nouvel Amour, de nouveaux Bienfaits et de nouvelles Consolations.
Amen
Le Père Antoine-Marie Claret (1807-1870) fut archevêque de Santiago de Cuba. Il a fondé la Société Missionnaire des Fils du Cœur Immaculé de Marie et a été canonisé en 1950).
PAROLES DE JÉSUS
Pour Me plaire, il n'est pas nécessaire d'avoir beaucoup d'instruction ; il suffit que tu M'aimes beaucoup. Parle-Moi avec simplicité, comme tu parlerais avec ton ami le plus intime.
As-tu quelque chose à Me demander pour quelqu'un ?
Dis-Moi son nom et ce que tu voudrais que Je fasse maintenant pour lui. Demande beaucoup ! N'hésite pas à demander. Parle-Moi avec simplicité et sincérité des pauvres que tu veux consoler, des malades que tu vois souffrir, des égarés que tu désires voir revenir sur le droit chemin. Dis-Moi au moins une parole pour chacun.
Et pour toi-même, n'as-tu pas besoin de quelque chose ?
Dis-Moi franchement que tu es peut-être orgueilleux, égoïste, inconstant, négligent... puis demande-Moi de te venir en aide dans le peu ou le grand nombre d'efforts que tu fais pour t'en sortir. N'aie pas honte ! Au Ciel, il y a beaucoup de justes, beaucoup de saints qui avaient exactement les mêmes défauts. Mais ils ont demandé humblement... et, peu à peu, ils se sont vus libérés de leurs défauts. Et n'hésite pas à prier pour ta santé et pour une heureuse issue de tes travaux, de tes affaires ou de tes études. Tout cela, Je peux te le donner et Je te le donne. Je désire que tu Me pries pour cela, si ce n'est pas préjudiciable à ta sanctification, mais la favorise et la soutient. Et aujourd'hui même, de quoi as-tu besoin ? Que puis-Je faire pour toi ? Si tu savais combien Je désire ardemment t'aider.
As-tu actuellement un projet ?
Expose-le Moi. Qu’est-ce qui te préoccupe ? Que penses-tu ? Que désires-tu ? Que puis-Je faire pour ton frère, pour ta sœur, pour tes amis, pour ta famille, pour tes supérieurs ? Que voudrais-tu faire pour eux ? Et pour ce qui est de Moi, n’as tu pas le désir que Je sois glorifié ? Ne voudrais-tu pas faire quelque chose de bien pour tes amis que tu aimes peut-être beaucoup, mais qui, peut-être, vivent sans penser à Moi.
Dis-Moi, qu'est-ce qui attire particulièrement ton attention aujourd'hui ? Que désires-tu le plus ardemment ? De quels moyens disposes-tu pour l'obtenir ? Si un projet échoue, dis-le-Moi ; Je te donnerai les raisons de l'échec. Ne voudrais-tu pas Me gagner à ta cause ?
Peut-être te sens-tu triste ou de mauvaise humeur ?
Raconte-Moi dans tous les détails ce qui t'attriste, ce qui t'a offensé, ce qui t'a blessé dans ton amour-propre, ce qui t'a humilié. Dis-Moi tout et bientôt tu parviendras au point où tu Me diras que tu pardonnes tout selon mon exemple, que tu oublies tout. En récompense, tu recevras Ma consolante Bénédiction. Peut-être as-tu peur ? Sens-tu dans ton âme cette détresse indéfinissable qui n'est pas justifiée, mais qui ne cesse pourtant de te déchirer le cœur ? Jette-toi dans les bras de la Providence ! Je suis avec toi, à ton côté. Je vois tout, J'entends tout, et Je ne t'abandonne pas un seul instant. Sens-tu l'abandon d'êtres qui auparavant t'aimaient bien mais qui maintenant t'ont oublié et s'éloignent de toi sans que tu en sois la cause ? Prie pour-eux, et Je les ferai revenir à ton côté, s'ils ne sont Pas un obstacle à ta sanctification.
Et n'as-tu pas peut-être une joie à Me faire partager ?
Pourquoi ne Me laisserais-tu pas partager ta joie ? Ne suis-Je pas ton ami ? Raconte-Moi ce qui a consolé ton cœur et ce qui t'a fait sourire depuis ta dernière visite chez Moi. Peut-être as-tu connu des surprises, peut-être reçu de bonnes nouvelles, une lettre, un signe d'affection ; peut-être as-tu surmonté une difficulté ; peut-être es-tu sorti d'une situation qui paraissait sans issue. Tout cela est mon Œuvre. Tu dois seulement Me dire : merci, mon Dieu !
Ne voudrais-tu pas Me promettre quelque chose ?
Je lis au fond de ton cœur. On peut facilement tromper les hommes, mais pas Dieu. Alors, parle-Moi tout à fait ouvertement. Es-tu vraiment fermement décidé à ne plus t'exposer à telle occasion de péché, à renoncer à telle chose qui t'a causé du tort, à renoncer à lire tel livre qui a excité ton imagination, à ne plus avoir de contact avec telle personne qui trouble la paix de ton âme ? Redeviendras-tu doux, aimable et complaisant avec telle personne que tu as considérée jusqu'ici comme un ennemi parce qu'elle a laissé échapper quelque chose contre toi. Eh bien ! Retourne maintenant à tes occupations habituelles, à ton travail, ta famille, tes études, mais n'oublie pas ce quart d'heure que nous avons passé ensemble. Garde autant que tu le peux silence, modestie, recueillement intérieur et amour du prochain.
Aime Ma Mère qui est aussi la tienne.
Et reviens de nouveau avec le cœur encore plus rempli d'amour, encore plus abandonné à Mon Esprit. Alors tu trouveras chaque jour dans Mon Cœur un nouvel Amour, de nouveaux Bienfaits et de nouvelles Consolations.
Amen
mardi 7 juin 2011
jeudi 2 juin 2011
Avec toi à Lourdes
Prière à Notre-Dame de Lourdes
Marie, tu t’es montrée à Bernadette dans le creux du rocher.
Dans le froid et l’ombre de l’hiver,
tu apportais la chaleur d’une présence,
la lumière et la beauté.
Dans le creux de nos vies souvent obscures,
au creux du monde où le Mal est puissant,
apporte l’espérance,
redonne la confiance !
Toi qui es l’Immaculée Conception,
viens en aide aux pécheurs que nous sommes.
Donne-nous l’humilité de la conversion,
le courage de la pénitence.
Apprends-nous à prier pour tous les hommes.
Guide-nous vers les sources de la vraie vie.
Fais de nous des pèlerins en marche au sein de ton Eglise.
Aiguise en nous la faim de l’eucharistie,
le pain de la route, le pain de vie.
En toi, Marie, l’Esprit Saint accomplit des merveilles :
par sa puissance, il t’a placée auprès du Père,
dans la gloire de ton Fils, à jamais vivant.
Regarde avec tendresse
les misères de nos corps et de nos cœurs.
Brille pour tous, comme une douce lumière,
au passage de la mort.
Avec Bernadette, nous te prions, Marie,
dans la simplicité des enfants.
Fais-nous entrer, comme elle, dans l’esprit des Béatitudes.
Alors, nous pourrons, dès ici-bas,
commencer à connaître la joie du Royaume
et chanter, avec toi :
Magnificat !
Gloire à toi, Vierge Marie,
heureuse servante du Seigneur,
Mère de Dieu,
demeure de l’Esprit Saint !
Amen !
Marie, tu t’es montrée à Bernadette dans le creux du rocher.
Dans le froid et l’ombre de l’hiver,
tu apportais la chaleur d’une présence,
la lumière et la beauté.
Dans le creux de nos vies souvent obscures,
au creux du monde où le Mal est puissant,
apporte l’espérance,
redonne la confiance !
Toi qui es l’Immaculée Conception,
viens en aide aux pécheurs que nous sommes.
Donne-nous l’humilité de la conversion,
le courage de la pénitence.
Apprends-nous à prier pour tous les hommes.
Guide-nous vers les sources de la vraie vie.
Fais de nous des pèlerins en marche au sein de ton Eglise.
Aiguise en nous la faim de l’eucharistie,
le pain de la route, le pain de vie.
En toi, Marie, l’Esprit Saint accomplit des merveilles :
par sa puissance, il t’a placée auprès du Père,
dans la gloire de ton Fils, à jamais vivant.
Regarde avec tendresse
les misères de nos corps et de nos cœurs.
Brille pour tous, comme une douce lumière,
au passage de la mort.
Avec Bernadette, nous te prions, Marie,
dans la simplicité des enfants.
Fais-nous entrer, comme elle, dans l’esprit des Béatitudes.
Alors, nous pourrons, dès ici-bas,
commencer à connaître la joie du Royaume
et chanter, avec toi :
Magnificat !
Gloire à toi, Vierge Marie,
heureuse servante du Seigneur,
Mère de Dieu,
demeure de l’Esprit Saint !
Amen !
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