Avant de prendre ma plume, je me suis agenouillée devant la statue de Marie: celle qui a donné à ma famille tant de preuves des maternelles préférences de la Reine du ciel ; je l'ai suppliée de guider ma main, afin de ne pas tracer une seule ligne qui ne lui soit agréable............

Comme le dit saint Paul:" Dieu a pitié de qui il veut, et il fait miséricorde à qui il veut faire miséricorde. Ce n'est donc pas l'ouvrage de celui qui veut , ni de celui qui court , mais de Dieu qui fait miséricorde." Thérèse de l'Enfant Jésus

mardi 21 novembre 2017

Emmaüs








Aujourd'hui , c'est le départ .......












Nous quittons Jérusalem et la route nous conduit à Abon Gosh - l'un des lieux où l'épisode " des disciples d'Emmaüs " a pu se vivre .......




Le même jour, deux disciples faisaient route vers un village appelé Emmaüs, à deux heures de marche de Jérusalem, et ils parlaient entre eux de tout ce qui s’était passé.
Or, tandis qu’ils s’entretenaient et s’interrogeaient, Jésus lui-même s’approcha, et il marchait avec eux.
Mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître.
Jésus leur dit : « De quoi discutez-vous en marchant ? » Alors, ils s’arrêtèrent, tout tristes.
L’un des deux, nommé Cléophas, lui répondit : « Tu es bien le seul étranger résidant à Jérusalem qui ignore les événements de ces jours-ci. »
 Il leur dit : « Quels événements ? » Ils lui répondirent : « Ce qui est arrivé à Jésus de Nazareth, cet homme qui était un prophète puissant par ses actes et ses paroles devant Dieu et devant tout le peuple : comment les grands prêtres et nos chefs l’ont livré, ils l’ont fait condamner à mort et ils l’ont crucifié.
 Nous, nous espérions que c’était lui qui allait délivrer Israël. Mais avec tout cela, voici déjà le troisième jour qui passe depuis que c’est arrivé.
 À vrai dire, des femmes de notre groupe nous ont remplis de stupeur. Quand, dès l’aurore, elles sont allées au tombeau, elles n’ont pas trouvé son corps ; elles sont venues nous dire qu’elles avaient même eu une vision : des anges, qui disaient qu’il est vivant.
Quelques-uns de nos compagnons sont allés au tombeau, et ils ont trouvé les choses comme les femmes l’avaient dit ; mais lui, ils ne l’ont pas vu. »
Il leur dit alors : « Esprits sans intelligence ! Comme votre cœur est lent à croire tout ce que les prophètes ont dit !
Ne fallait-il pas que le Christ souffrît cela pour entrer dans sa gloire ? »
Et, partant de Moïse et de tous les Prophètes, il leur interpréta, dans toute l’Écriture, ce qui le concernait.
Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient, Jésus fit semblant d’aller plus loin.
 Mais ils s’efforcèrent de le retenir : « Reste avec nous, car le soir approche et déjà le jour baisse. » Il entra donc pour rester avec eux.


Quand il fut à table avec eux, ayant pris le pain, il prononça la bénédiction et, l’ayant rompu, il le leur donna.
 Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent, mais il disparut à leurs regards.
Ils se dirent l’un à l’autre : « Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous, tandis qu’il nous parlait sur la route et nous ouvrait les Écritures ? »
À l’instant même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem. Ils y trouvèrent réunis les onze Apôtres et leurs compagnons, qui leur dirent :
« Le Seigneur est réellement ressuscité : il est apparu à Simon-Pierre. »
 À leur tour, ils racontaient ce qui s’était passé sur la route, et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux à la fraction du pain.


Temps pour découvrir le lieu avec un frère et aussi , temps pour célébrer la messe de clôture de notre pèlerinage .
Eglise recueillante où des personnes de tout temps sont venues se recueillir ........
























Nous allons , ensuite , à la communauté des béatitudes , ici , nous voyons un tombeau de l'époque de Jésus ........... et la chapelle de la communauté , elle est belle , dommage que nous ne pouvons pas aller prier en bas , de plus près ........



































Nous déjeunons à la communauté - et ensuite , c'est le chemin de l'aréoport ......



















Nous rentrons à la maison ..........









lundi 20 novembre 2017

Cet après - midi - c'est repos - je dors - je lis et prend de la tisane , miel , citron - en attendant le groupe qui revient en soirée .......





Après leurs déjeuners , à Notre Dame de France - le car emmène le groupe vers Ein Karem - la maison de Zacharie et Elisabeth , la cousine de la Vierge Marie qui attendait un enfant - cette nouvelle Marie l'apprit de l'ange Gabriel .



" En ces jours-là, Marie se mit en route et se rendit avec empressement vers la région montagneuse, dans une ville de Judée. Elle entra dans la maison de Zacharie et salua Élisabeth. Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie, l’enfant tressaillit en elle. Alors, Élisabeth fut remplie d’Esprit Saint, et s’écria d’une voix forte : « Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni.
D’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ?

Car, lorsque tes paroles de salutation sont parvenues à mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse en moi.
Heureuse celle qui a cru à l’accomplissement des paroles qui lui furent dites de la part du Seigneur. »
 Marie dit alors : « Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur !
 Il s’est penché sur son humble servante ; désormais tous les âges me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles ; Saint est son nom !
Sa miséricorde s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent.
Déployant la force de son bras, il disperse les superbes.
Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles.
Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides.
Il relève Israël son serviteur, il se souvient de son amour,
de la promesse faite à nos pères, en faveur d’Abraham et sa descendance à jamais. »

Marie resta avec Élisabeth environ trois mois, puis elle s’en retourna chez elle.
Quand fut accompli le temps où Élisabeth devait enfanter, elle mit au monde un fils.
Ses voisins et sa famille apprirent que le Seigneur lui avait montré la grandeur de sa miséricorde, et ils se réjouissaient avec elle.
Le huitième jour, ils vinrent pour la circoncision de l’enfant. Ils voulaient l’appeler Zacharie, du nom de son père.
 Mais sa mère prit la parole et déclara : « Non, il s’appellera Jean. »
On lui dit : « Personne dans ta famille ne porte ce nom-là ! »
On demandait par signes au père comment il voulait l’appeler.
Il se fit donner une tablette sur laquelle il écrivit : « Jean est son nom. » Et tout le monde en fut étonné.
À l’instant même, sa bouche s’ouvrit, sa langue se délia : il parlait et il bénissait Dieu.
La crainte saisit alors tous les gens du voisinage et, dans toute la région montagneuse de Judée, on racontait tous ces événements.
Tous ceux qui les apprenaient les conservaient dans leur cœur et disaient : « Que sera donc cet enfant ? » En effet, la main du Seigneur était avec lui.

 Zacharie, son père, fut rempli d’Esprit Saint et prononça ces paroles prophétiques :
« Béni soit le Seigneur, le Dieu d’Israël, qui visite et rachète son peuple.
 Il a fait surgir la force qui nous sauve dans la maison de David, son serviteur,
comme il l’avait dit par la bouche des saints, par ses prophètes, depuis les temps anciens :
salut qui nous arrache à l’ennemi, à la main de tous nos oppresseurs,
amour qu’il montre envers nos pères, mémoire de son alliance sainte,
serment juré à notre père Abraham de nous rendre sans crainte,
afin que, délivrés de la main des ennemis,
nous le servions dans la justice et la sainteté, en sa présence, tout au long de nos jours.
Toi aussi, petit enfant, tu seras appelé prophète du Très-Haut ; tu marcheras devant, à la face du Seigneur, et tu prépareras ses chemins
 pour donner à son peuple de connaître le salut par la rémission de ses péchés,
grâce à la tendresse, à l’amour de notre Dieu, quand nous visite l’astre d’en haut, pour illuminer ceux qui habitent les ténèbres et l’ombre de la mort, pour conduire nos pas au chemin de la paix. »




 L’enfant grandissait et son esprit se fortifiait. Il alla vivre au désert jusqu’au jour où il se fit connaître à Israël." Luc 1, 39-80 








Ensuite, c'est la visite du Musée d'Israël - avec la maquette de Jérusalem du temps de Jésus .












Puis , le groupe découvre Yad Vashem , le site du mémorial israélien en mémoire des victimes juives de la Shoah .



Avant le repas , la célébration se fait dans la chapelle de l'hôtel .

samedi 18 novembre 2017





Aujourd'hui , nous descendons au mur des Lamentations - d'abord , recommandations car nous allons passer par des portiques de contrôle .......









Ce matin , l'esplanade est très calme , les Juifs viennent faire leurs prières - les hommes d'un côté , les femmes de l'autre côté ........ devant l'ancien mur du Temple ........





Le guide nous invite à faire la démarche , si nous voulons - les hommes doivent se couvrir de la kippa qui leur est prêtée .







C'est un temps paisible - respectueux de leur Foi -
même si,  sur le dépliant du mur de l'occident , il est écrit " La Présence Divine n'a jamais quitté le Mur occidentale " ;


 Je ne suis pas d'accord avec ça " La Présence Divine est dans l'Eucharistie " C'est ma Foi .






Le guide nous dirige vers le passage musulman - là , aussi , il faut passer par un contrôle - l'attente va durer une heure 15  - il fait beau et le partage est bien agréable .... des dattiers et l'aperçu des tombeaux juifs ......







Mais , le fait de cette attente longue - nous ne pouvons pas rester sur l'esplanade du Dôme du Rocher que 5 minutes ............ car à 10h30 , les Musulmans ferment l'esplanade - un regard ...... quelques photos ...... Il faut sortir .





La prochaine direction est l'église dédié à Sainte Anne , la maman de la Vierge Marie ........











L'église est très belle et très calme - approprié pour la prière ..........














A l'extérieur , se trouve la piscine Probatique  ( piscine Bethesda ) où Jésus guérit un paralysé .








 Après cela, il y eut une fête juive, et Jésus monta à Jérusalem.
 Or, à Jérusalem, près de la porte des Brebis, il existe une piscine qu’on appelle en hébreu Bethzatha. Elle a cinq colonnades,
 sous lesquelles étaient couchés une foule de malades, aveugles, boiteux et impotents. 
 Il y avait là un homme qui était malade depuis trente-huit ans.
 Jésus, le voyant couché là, et apprenant qu’il était dans cet état depuis longtemps, lui dit : « Veux-tu être guéri ? »
 Le malade lui répondit : « Seigneur, je n’ai personne pour me plonger dans la piscine au moment où l’eau bouillonne ; et pendant que j’y vais, un autre descend avant moi. »
 Jésus lui dit : « Lève-toi, prends ton brancard, et marche. »
 Et aussitôt l’homme fut guéri. Il prit son brancard : il marchait ! Or, ce jour-là était un jour de sabbat.
 Les Juifs dirent donc à cet homme que Jésus avait remis sur pieds : « C’est le sabbat ! Il ne t’est pas permis de porter ton brancard. »
 Il leur répliqua : « Celui qui m’a guéri, c’est lui qui m’a dit : “Prends ton brancard, et marche !” »
 Ils l’interrogèrent : « Quel est l’homme qui t’a dit : “Prends ton brancard, et marche” ? »
 Mais celui qui avait été rétabli ne savait pas qui c’était ; en effet, Jésus s’était éloigné, car il y avait foule à cet endroit.
 Plus tard, Jésus le retrouve dans le Temple et lui dit : « Te voilà guéri. Ne pèche plus, il pourrait t’arriver quelque chose de pire. »
 L’homme partit annoncer aux Juifs que c’était Jésus qui l’avait guéri.
 Et ceux-ci persécutaient Jésus parce qu’il avait fait cela le jour du sabbat.
 Jésus leur déclara : « Mon Père est toujours à l’œuvre, et moi aussi, je suis à l’œuvre. »
 C’est pourquoi, de plus en plus, les Juifs cherchaient à le tuer, car non seulement il ne respectait pas le sabbat, mais encore il disait que Dieu était son propre Père, et il se faisait ainsi l’égal de Dieu.
 Jésus reprit donc la parole. Il leur déclarait : « Amen, amen, je vous le dis : le Fils ne peut rien faire de lui-même, il fait seulement ce qu’il voit faire par le Père ; ce que fait celui-ci, le Fils le fait pareillement.
 Car le Père aime le Fils et lui montre tout ce qu’il fait. Il lui montrera des œuvres plus grandes encore, si bien que vous serez dans l’étonnement.
 Comme le Père, en effet, relève les morts et les fait vivre, ainsi le Fils, lui aussi, fait vivre qui il veut.
 Car le Père ne juge personne : il a donné au Fils tout pouvoir pour juger,
 afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui ne rend pas honneur au Fils ne rend pas non plus honneur au Père, qui l’a envoyé.
 Amen, amen, je vous le dis : qui écoute ma parole et croit en Celui qui m’a envoyé, obtient la vie éternelle et il échappe au jugement, car déjà il passe de la mort à la vie.  Jean 5 1,24


Veux-tu être guéri ?
" Amis encore inconvertis , n'attendez pas plus longtemps , pour comprendre que Jésus Seul peut vous sauver .
Mais est-ce que vous désirez vraiment l'être ?  " ( biblenligne.com )


Nous devons retourner au car et passons dans les rues pour sortir de la vieille ville .
Ce midi , le repas est prévu à Notre Dame de France .




C'est , ici , que je quitte le groupe . Je rentre à l'hôtel - le guide m'indique le trajet qui n'est pas très long .
Ma gorge est très irritée et la toux très fatiguante , je ne peux pas continuer cet après midi - je vais me reposer......

vendredi 17 novembre 2017

Vers le Saint Sépulcre ........






Le guide nous emmène à la Cathédrale Arménienne de Saint Jacques ( St James ) -









 La cathédrale est  fermée mais nous découvrons à l'extérieur - des belles peintures - des croix arméniennes - des faïences dont une avec la Vierge Marie .........











































Ensuite , nous commençons un chemin de Croix dans la ville de Jérusalem , étrange ce chemin de Croix , au milieu des gens , dans les souks .

Nous sommes sur la Via Dolorosa -




















Chemin bruyant, sans doute que Jésus a vécu ce chemin entouré de beaucoup de personnes , et dans une résonnante bruyante où s'ajoutait les cris de haines et les pierres qui pleuvaient sur Lui , en plus de la fatigue de porter la Croix , dans une faiblesse humaine après avoir vécu une nuit douloureuse ........













Nous quittons le bruit des souks et des rues pour nous asphyxier dans celui du Saint Sépulcre ......
C'est affreux ......















Comment peut-on se recueillir dans cette Basilique qui regroupe le Rocher du Golgota et le Tombeau du Christ -








Bien sûr , ce n'est plus comme au temps de Jésus et la Basilique est ouverte à six groupes religieux chrétiens d'où cette cohorte bruyante : des Catholiques Romains , des Grecs Orthodoxes , des Arméniens Apostoliques , des Syriaques Orthodoxes , des Coptes ,des Ethiopiens Orthodoxes , et chacun à son temps de célébrations et tout concorde très bien ..........

Avec Christian , nous allons au Calvaire - une attente se fait - pas facile de se mettre en prières , mais petit à petit , nous arrivons au pied de la Croix .



 C’était le jour de la Préparation de la Pâque, vers la sixième heure, environ midi. Pilate dit aux Juifs : « Voici votre roi. »
 Alors ils crièrent : « À mort ! À mort ! Crucifie-le ! » Pilate leur dit : « Vais-je crucifier votre roi ? » Les grands prêtres répondirent : « Nous n’avons pas d’autre roi que l’empereur. »
Alors, il leur livra Jésus pour qu’il soit crucifié. Ils se saisirent de Jésus.
 Et lui-même, portant sa croix, sortit en direction du lieu dit Le Crâne (ou Calvaire), qui se dit en hébreu Golgotha.
 C’est là qu’ils le crucifièrent, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu.


Pilate avait rédigé un écriteau qu’il fit placer sur la croix ; il était écrit : « Jésus le Nazaréen, roi des Juifs. »
 Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau, parce que l’endroit où l’on avait crucifié Jésus était proche de la ville, et que c’était écrit en hébreu, en latin et en grec.
 Alors les grands prêtres des Juifs dirent à Pilate : « N’écris pas : “Roi des Juifs” ; mais : “Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs”. »
 Pilate répondit : « Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit. »
Quand les soldats eurent crucifié Jésus, ils prirent ses habits ; ils en firent quatre pats, une pouhaque soldat. Ils prirent aussi la tunique ; c’était une tunique sans couture, tissée tout d’une pièce de haut en bas.
 Alors ils se dirent entre eux : « Ne la déchirons pas, désignons par le sort celui qui l’aura. » Ainsi s’accomplissait la parole de l’Écriture : Ils se sont partagé mes habits ; ils ont tiré au sort mon vêtement. C’est bien ce que firent les soldats.
 Or, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine.
 Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. »
 Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui.
 Après cela, sachant que tout, désormais, était achevé pour que l’Écriture s’accomplisse jusqu’au bout, Jésus dit : « J’ai soif. »
 Il y avait là un récipient plein d’une boisson vinaigrée. On fixa donc une éponge remplie de ce vinaigre à une branche d’hysope, et on l’approcha de sa bouche.
 Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : « Tout est accompli. » Puis, inclinant la tête, il remit l’esprit.
 Comme c’était le jour de la Préparation (c’est-à-dire le vendredi), il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat, d’autant plus que ce sabbat était le grand jour de la Pâque. Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu’on enlève les corps après leur avoir brisé les jambes.
 Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier, puis de l’autre homme crucifié avec Jésus.
 Quand ils arrivèrent à Jésus, voyant qu’il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes,
 mais un des soldats avec sa lance lui perça le côté ; et aussitôt, il en sortit du sang et de l’eau.
 Celui qui a vu rend témoignage, et son témoignage est véridique ; et celui-là sait qu’il dit vrai afin que vous aussi, vous croyiez.
 Cela, en effet, arriva pour que s’accomplisse l’Écriture : Aucun de ses os ne sera brisé.
 Un autre passage de l’Écriture dit encore : Ils lèveront les yeux vers celui qu’ils ont transpercé.
Après cela, Joseph d’Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate de pouvoir enlever le corps de Jésus. Et Pilate le permit. Joseph vint donc enlever le corps de Jésus.
Nicodème – celui qui, au début, était venu trouver Jésus pendant la nuit – vint lui aussi ; il apportait un mélange de myrrhe et d’aloès pesant environ cent livres.
 Ils prirent donc le corps de Jésus, qu’ils lièrent de linges, en employant les aromates selon la coutume juive d’ensevelir les morts.
 À l’endroit où Jésus avait été crucifié, il y avait un jardin et, dans ce jardin, un tombeau neuf dans lequel on n’avait encore déposé personne.
 À cause de la Préparation de la Pâque juive, et comme ce tombeau était proche, c’est là qu’ils déposèrent Jésus.


Adorer , l'endroit où la Croix fût plantée et que le Sang de Jésus Crucifié à couler- se mettre à genoux et avancer , adorer où le Sang de Jésus à purifier le monde - puis reculer à genoux - un temps merveilleux que le Seigneur donne ..........







Après , nous aimerions aller aussi au Tombeau  - pour y arriver , nous passons devant la pierre où Jésus a été déposé après sa Mort .











Nous arrivons autour du Saint Sépulcre et commençons notre attente qui va durer plus de deux heures , dans le brouhaha - la cohue - et l'hystérie - nous étions comprimés dans cette foule .


Arrive le moment , qui ne se fait même pas dans le calme : pourtant , c'est le Tombeau du Christ .......

Qu'es-tu venu chercher , ici ? Qu'es-tu venu voir ?

Eh bien !!!  un endroit tout noir où on te dit de t'incliner pour adorer , je pense une pierre .
Que c'est dommage , que cet endroit de la Résurrection de Jésus , ne soit pas tout blanc , tout éclairé , plein de clarté ....... car les Orthodoxes, eux ,
prient la Résurrection dans cette Basilique ........




Dans le Tombeau de Jésus , il est bien d'adorer mais il faut aller de l'avant
 - car Jésus est Ressuscité et Il ne veut pas que nous restions dans les peines de la mort .



Jésus est Ressuscité - Il est vraiment Ressuscité !!!  pour que par cette Vie donnée , nous vivions ,nous aussi , en Ressuscité ..... 
- heureux chaque jour , pour vivre notre Foi , de Chrétiens Ressuscités

















Pendant cette attente , le groupe célébrait la messe dans la 
chapelle des Franscicains .








Dans cette chapelle où l'on vénère l'apparition de Jésus à Marie Madeleine , le jour de Pâques .




La messe n'était pas terminée et ce fût la Joie de Pâques que je reçus - Jésus me montrait qu'il ne faut pas s'arrêter au Tombeau , que Lui , Il est Vivant dans l'Eucharistie .........