Avant de prendre ma plume, je me suis agenouillée devant la statue de Marie: celle qui a donné à ma famille tant de preuves des maternelles préférences de la Reine du ciel ; je l'ai suppliée de guider ma main, afin de ne pas tracer une seule ligne qui ne lui soit agréable............
Comme le dit saint Paul:" Dieu a pitié de qui il veut, et il fait miséricorde à qui il veut faire miséricorde. Ce n'est donc pas l'ouvrage de celui qui veut , ni de celui qui court , mais de Dieu qui fait miséricorde." Thérèse de l'Enfant Jésus
Comme le dit saint Paul:" Dieu a pitié de qui il veut, et il fait miséricorde à qui il veut faire miséricorde. Ce n'est donc pas l'ouvrage de celui qui veut , ni de celui qui court , mais de Dieu qui fait miséricorde." Thérèse de l'Enfant Jésus
vendredi 25 février 2011
le Seigneur est vainqueur (louange chrétienne, Matthieu Cossiez)
Matthieu Cossiez : nouvel album ...........
Que t'importe ?
" Qui peut être sauvé ? " , demandaient les apôtres à Jésus qui répond :
"Tout est possible pour Dieu ", une façon de dire : "C'est l'affaire de Dieu "
Paul VI écrivait :
"Il ne serait pas inutile que chaque chrétien et chaque évangélisateur approfondisse dans la prière , cette pensée : les hommes pourront se sauver aussi par d'autres chemins , grâce à la Miséricorde de Dieu, même si nous ne leur annonçons pas l'Evangile; mais nous, pouvons-nous nous sauver si par négligence , par peur , par honte , ce que saint Paul appelait " rougir de l'Evangile " , ou par suite d'idées fausses , nous omettons de l'annoncer "
Voilà une bonne question, qui nous réveille!!!
A la fin de l'Evangile de Jean , Pierre demande à Jésus ce qui arrivera à Jean ; le Maître lui répond :" Que t'importe? Toi, suis-moi !! "
Combien de temps gaspillé avec des questions qui sont de compétence divine ?
Utilisons ce temps pour annoncer le Christ et chercher toujours de nouveaux chemins d'évangélisations.
Pierre Aguila
"Tout est possible pour Dieu ", une façon de dire : "C'est l'affaire de Dieu "
Paul VI écrivait :
"Il ne serait pas inutile que chaque chrétien et chaque évangélisateur approfondisse dans la prière , cette pensée : les hommes pourront se sauver aussi par d'autres chemins , grâce à la Miséricorde de Dieu, même si nous ne leur annonçons pas l'Evangile; mais nous, pouvons-nous nous sauver si par négligence , par peur , par honte , ce que saint Paul appelait " rougir de l'Evangile " , ou par suite d'idées fausses , nous omettons de l'annoncer "
Voilà une bonne question, qui nous réveille!!!
A la fin de l'Evangile de Jean , Pierre demande à Jésus ce qui arrivera à Jean ; le Maître lui répond :" Que t'importe? Toi, suis-moi !! "
Combien de temps gaspillé avec des questions qui sont de compétence divine ?
Utilisons ce temps pour annoncer le Christ et chercher toujours de nouveaux chemins d'évangélisations.
Pierre Aguila
jeudi 24 février 2011
Chemin vers Pâques
Pour emprunter sérieusement le chemin vers Pâques et nous préparer à célébrer la Résurrection du Seigneur – qui est la fête la plus joyeuse et solennelle de l’année liturgique –, qu’est-ce qui pourrait être le plus adapté si ce n’est de nous laisser guider par la Parole de Dieu? C’est pourquoi l’Eglise, à travers les textes évangéliques proclamés lors des dimanches de Carême, nous conduit-elle à une rencontre particulièrement profonde avec le Seigneur, nous faisant parcourir à nouveau les étapes de l’initiation chrétienne: pour les catéchumènes en vue de recevoir le sacrement de la nouvelle naissance; pour ceux qui sont déjà baptisés, en vue d’opérer de nouveaux pas décisifs à la suite du Christ, dans un don plus plénier.
Notre immersion dans la mort et la résurrection du Christ, par le sacrement du Baptême, nous pousse chaque jour à libérer notre cœur du poids des choses matérielles, du lien égoïste avec la «terre», qui nous appauvrit et nous empêche d’être disponibles et accueillants à Dieu et au prochain. Dans le Christ, Dieu s’est révélé Amour (cf. 1 Jn 4,7-10). La Croix du Christ, le «langage de la Croix» manifeste la puissance salvifique de Dieu (cf. 1 Cor 1,18) qui se donne pour relever l’homme et le conduire au salut: il s’agit de la forme la plus radicale de l’amour.
début et suite du message de Benoit XVI pour le carême
http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=2202111_message_careme
Notre immersion dans la mort et la résurrection du Christ, par le sacrement du Baptême, nous pousse chaque jour à libérer notre cœur du poids des choses matérielles, du lien égoïste avec la «terre», qui nous appauvrit et nous empêche d’être disponibles et accueillants à Dieu et au prochain. Dans le Christ, Dieu s’est révélé Amour (cf. 1 Jn 4,7-10). La Croix du Christ, le «langage de la Croix» manifeste la puissance salvifique de Dieu (cf. 1 Cor 1,18) qui se donne pour relever l’homme et le conduire au salut: il s’agit de la forme la plus radicale de l’amour.
début et suite du message de Benoit XVI pour le carême
http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=2202111_message_careme
mercredi 23 février 2011
Qu’est-ce que l’homme que tu en prennes souci ? Tu abandonnes ton palais céleste pour aller à la recherche de la brebis perdue. Tu te manifestes à elle, et par les impulsions de ta grâce tu l’appelles sans cesse, tu attires son cœur vers toi, afin qu’elle te connaisse de près, t’aime, t’adore. As-tu vraiment besoin d’elle pour être pleinement heureux dans ton paradis ? Non, c’est ta bonté qui te pousse vers elle, c’est ton amour qui aime à se répandre et à la conquérir, pour la rendre heureuse de cette même félicité dont tu es rempli.
Ô Jésus, nous sommes un néant sans beauté, et c’est justement pour cela que tu nous cherches : pour nous donner ton être divin, par l’opération et la communication de ta grâce.
Ô Jésus, nous sommes un néant sans beauté, et c’est justement pour cela que tu nous cherches : pour nous donner ton être divin, par l’opération et la communication de ta grâce.
Ô Jésus, qui pourra te résister ? Fais que, moi qui suis pauvre, je te demande tout ce dont j’ai besoin pour te plaire, qui vienne de toi et te soit agréable. Donne-moi et conserve en moi cette foi vive qui me fasse croire et agir pour ton seul amour
Padre Pio
mardi 22 février 2011
vendredi 18 février 2011
Un défaut dans la femme?
Quand Dieu créa la femme, il en était déjà à son sixième jour de travail. Un ange apparut et lui demanda : Pourquoi y mets-tu autant de temps ?
Et le Seigneur répondit :
- Tu as vu mon projet pour Elle ? Elle doit être complètement lavable, sans être en plastique; avoir plus de 200 parties amovibles remplaçables, pouvoir fonctionner avec un régime quelconque, avoir un giron qui puisse accueillir quatre enfants en même temps, avoir un baiser qui puisse soigner aussi bien un genou écorché qu’un cœur brisé et elle fera le tout avec seulement deux mains.
L’ange s’émerveilla des qualités :
- Seulement deux mains ? Impossible ! Et c’est seulement le modèle de base ? C’est trop de travail pour un jour… Attends demain pour la terminer.
Le Seigneur protesta :
- Je ne le ferai pas. Je suis si près de terminer cette création que j’y mets tout mon cœur. Elle se soigne toute seule quand elle est malade et elle peut travailler 18 heures par jour.
L’ange se rapprocha davantage et toucha la femme.
- Cependant tu l’as faite si délicate, Seigneur !
- Elle est délicate, répondit Dieu, mais je l’ai faite robuste aussi. Tu n’as pas idée de ce qu’elle est capable de supporter ou d’obtenir.
L’ange demanda :
- Est-ce qu’elle sera capable de penser?
Dieu répondit :
- Non seulement elle sera capable de penser mais aussi de discuter et d’exécuter.
L’ange remarqua alors quelque chose et en allongeant la main il toucha la joue de la femme :
- Seigneur, il semble que ce modèle ait une fuite.
- Je t’avais dit que je cherchais à mettre en elle beaucoup de choses. Il n’y a aucune fuite... C’est une larme, corrigea le Seigneur.
- À quoi servent les larmes ? demanda l’ange.
Et Dieu dit :
- Les larmes sont sa manière d’exprimer sa joie, sa peine, sa désillusion, son amour, sa solitude, sa souffrance et son orgueil.
Ceci impressionna beaucoup l’ange :
- Tu es un génie, Seigneur. Tu as pensé à tout. La femme est vraiment merveilleuse !”
Et le Seigneur répondit :
- Tu as vu mon projet pour Elle ? Elle doit être complètement lavable, sans être en plastique; avoir plus de 200 parties amovibles remplaçables, pouvoir fonctionner avec un régime quelconque, avoir un giron qui puisse accueillir quatre enfants en même temps, avoir un baiser qui puisse soigner aussi bien un genou écorché qu’un cœur brisé et elle fera le tout avec seulement deux mains.
L’ange s’émerveilla des qualités :
- Seulement deux mains ? Impossible ! Et c’est seulement le modèle de base ? C’est trop de travail pour un jour… Attends demain pour la terminer.
Le Seigneur protesta :
- Je ne le ferai pas. Je suis si près de terminer cette création que j’y mets tout mon cœur. Elle se soigne toute seule quand elle est malade et elle peut travailler 18 heures par jour.
L’ange se rapprocha davantage et toucha la femme.
- Cependant tu l’as faite si délicate, Seigneur !
- Elle est délicate, répondit Dieu, mais je l’ai faite robuste aussi. Tu n’as pas idée de ce qu’elle est capable de supporter ou d’obtenir.
L’ange demanda :
- Est-ce qu’elle sera capable de penser?
Dieu répondit :
- Non seulement elle sera capable de penser mais aussi de discuter et d’exécuter.
L’ange remarqua alors quelque chose et en allongeant la main il toucha la joue de la femme :
- Seigneur, il semble que ce modèle ait une fuite.
- Je t’avais dit que je cherchais à mettre en elle beaucoup de choses. Il n’y a aucune fuite... C’est une larme, corrigea le Seigneur.
- À quoi servent les larmes ? demanda l’ange.
Et Dieu dit :
- Les larmes sont sa manière d’exprimer sa joie, sa peine, sa désillusion, son amour, sa solitude, sa souffrance et son orgueil.
Ceci impressionna beaucoup l’ange :
- Tu es un génie, Seigneur. Tu as pensé à tout. La femme est vraiment merveilleuse !”
- Hé oui ! Les femmes ont des énergies qui étonnent les hommes. Elles affrontent les difficultés, règlent les problèmes graves, cependant elles ont bonheur, amour et joie. Elles sourient quand elles voudraient crier, elles chantent quand elle voudraient pleurer, elles pleurent quand elles sont heureuses et elles rient quand elles sont nerveuses.
Elles luttent pour ce en quoi elles croient. Elles se rebellent contre l’injustice. Elles n’acceptent pas un "non" pour réponse quand elles croient qu’il y a une meilleure solution. Elles se privent pour maintenir la famille debout. Elles vont chez le médecin avec une amie craintive. Elles aiment inconditionnellement. »
Elles pleurent quand leurs enfants ont du succès et elles se réjouissent pour les chances de leurs amis. Elles sont heureuses quand elles entendent parler d’un baptême ou d’un mariage. Leur cœur se brise quand une amie meurt. Elles souffrent pour la perte d’une personne chère. Sans doute elles sont fortes quand elles pensent ne plus avoir d’énergie. Elles savent qu’un baiser et une embrassade peuvent aider à soigner un cœur brisé.
Il y n’a pas doutes, dans la femme, il y a un défaut. C’est qu’elle oublie sa valeur !
Dédié à toutes les femmes pour leur rappeler quelles créatures merveilleuses elles sont et à tous les hommes qui ont besoin, quelquefois, que quelqu’un le leur rappelle.
Merci à Mathilde
jeudi 17 février 2011
Léger......
"Pierre , descendant de la barque, se mit à marcher sur les eaux et vint vers Jésus" Évangile de Matthieu 14,29
Incroyable, et pourtant véridique!
Pierre devient tellement léger qu'il marche sur le lac de Tibériade!
Léger........comme le joug que Jésus nous invite à porter: "Mon joug est aisé et mon fardeau léger"Mt 11,30
Qu'est-ce qui le rend si léger?
Le fait de venir à Jésus, comme l'a fait Pierre sur les eaux, en s'appuyant, plein de confiance, sur les paroles du Seigneur!
Depuis 2000 ans, ces paroles n'ont pas changé.
L'Évangile n'est pas un poids , au contraire, Il nous permet d'affronter les tempêtes de la vie en toute sécurité.
Immerge-toi dans l'Evangile, que toute ta vie en soit imprégnée.
Alors tu donneras envie à ceux qui te rencontrent de chercher ce secret de bonheur et de paix;
Ne garde pas pour toi un tel Trésor!
VIS-LE ! ANNONCES-LE! TRANSMETS-LE !
Pierre Aguila " un amour qui presse "
Incroyable, et pourtant véridique!
Pierre devient tellement léger qu'il marche sur le lac de Tibériade!
Léger........comme le joug que Jésus nous invite à porter: "Mon joug est aisé et mon fardeau léger"Mt 11,30
Qu'est-ce qui le rend si léger?
Le fait de venir à Jésus, comme l'a fait Pierre sur les eaux, en s'appuyant, plein de confiance, sur les paroles du Seigneur!
Depuis 2000 ans, ces paroles n'ont pas changé.
L'Évangile n'est pas un poids , au contraire, Il nous permet d'affronter les tempêtes de la vie en toute sécurité.
Immerge-toi dans l'Evangile, que toute ta vie en soit imprégnée.
Alors tu donneras envie à ceux qui te rencontrent de chercher ce secret de bonheur et de paix;
Ne garde pas pour toi un tel Trésor!
VIS-LE ! ANNONCES-LE! TRANSMETS-LE !
Pierre Aguila " un amour qui presse "
mercredi 16 février 2011
Ta volonté Seigneur!
Non pas ma volonté, Seigneur,
Mais Ta volonté !
Non pas ma vérité, Seigneur,
Mais Ta Vérité !
Que cette écharde dans ma chair
Façonne mon être à ton image
Tu es le Dieu en lequel j’espère
Ton Amour se transmet
D’âge en âge
Malgré les peines et les tourments
Fais-moi rayonner de Ta Joie
Accueille aussi mon coeur d’enfant
Qui ne cesse de courir vers Toi
Que mes sourires et mes regards
Traduisent l’Espérance
Qui transperce les brouillards
De mes chemins d’errance
Sereinement, je marcherai
Vers Celui qui dit :
«Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie»
Et même si je devais trébucher
Je tendrais ma main
Le coeur confiant
À ce Dieu qui m’a rendu la Vie
Florence Saillen
Mais Ta volonté !
Non pas ma vérité, Seigneur,
Mais Ta Vérité !
Que cette écharde dans ma chair
Façonne mon être à ton image
Tu es le Dieu en lequel j’espère
Ton Amour se transmet
D’âge en âge
Malgré les peines et les tourments
Fais-moi rayonner de Ta Joie
Accueille aussi mon coeur d’enfant
Qui ne cesse de courir vers Toi
Que mes sourires et mes regards
Traduisent l’Espérance
Qui transperce les brouillards
De mes chemins d’errance
Sereinement, je marcherai
Vers Celui qui dit :
«Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie»
Et même si je devais trébucher
Je tendrais ma main
Le coeur confiant
À ce Dieu qui m’a rendu la Vie
Florence Saillen
mardi 15 février 2011
L'homme de prière travaille à l'oeuvre du Seigneur
L’homme de prière travaille à l’oeuvre
du Seigneur, il intercède pour le monde.
Tout homme devrait approfondir sans cesse sa recherche de Dieu et toujours de demander quels sont ses rapports avec Dieu
Dans l’Ancien Testament Dieu recherche le dialogue avec les hommes.
Abraham finit par intercéder auprès de Dieu en faveur des hommes, il sera le premier d'une "longue lignée d'intercesseurs"
C’est à partir de la faiblesse qui l’a rendu semblable à nous que le Christ peut nous communiquer toute la richesse et les grâces venues du Père, notre Dieu Le Christ qui se donne et intercède inlassablement pour les hommes.
Mais, laissons parler le Père Caffarel :
« Au plus chaud du jour, assis à l’entrée de sa tente, le patriarche levant les yeux apercois trois anges, ambassadeurs de Yahvé, Il se lève , se prosterne, leur offre l’hospitalité. Et Yahvé lui renouvelle la promesse d’une descendance et lui confie qu’il se rend, pour les juger, à Sodome et à Gomorrhe. Abraham se constitue alors devant Dieu l’avocat des villes criminelles, et sa prière, la première que nous lisons dans la Bible (Gen. 18), est une intercession en faveur des coupables, intercession confiante, habile, audacieuse, pathétique. Abraham inaugure ainsi la longue lignée des intercesseurs qui d’âge en âge se succèderont en Israël.
Quelques six siècles plus tard ce sera Moïse, l’intercesseur-type pourrait on dire. Quand, excédé de l’incrédulité de son peuple, Yahvé lui déclare :
« Maintenant, laisse-moi, ma colère va s’enflammer contre eux et je les exterminerai ! Mais de toi je ferai une grande nation » (Ex. 32, 10), nous comprenons dès les premiers mots que Moïse est celui qui ne laisse pas Dieu faire à son gré. Il n’accepte pas non plus de se désolidariser du peuple, fût-ce pour recevoir une régence plus glorieuse. Ce peuple, il en est le chef de par Dieu, il en sera donc le défenseur, l’intercesseur auprès du Seigneur lui-même.
Juges, rois, prophètes, à la suite d’Abraham et de Moïse, plaideront à leur tour pour ce peuple « à la nuque raide » et maintes fois obtiendront pour lui miséricorde. Mais malheur aux siècles où Dieu ne trouvera pas d’intercesseurs : j’ai cherché parmi eux quelqu’un qui construisît un mur et qui se tînt debout sur la brèche devant moi pour défendre le pays, et m’empêcher de le détruire et je n’ai trouvé personne » (Ez. 22, 30).
Admirez cette définition, ou plutôt ce portrait de l’intercesseur : c’est l’homme qui construit un rempart pour protéger ses frères, et veille sur la brèche par où le châtiment pourrait venir.
A vrai dire, tous ces intercesseurs de notre Bible ne sont que des figures, des ébauches du grand, du seul Intercesseur : Jésus-Christ. Le voilà, cet homme que Dieu cherche : debout sur la brèche, les deux bras étendus, il s’interpose. Plus efficacement qu’Abraham il plaide pour le monde criminel, et parce qu' il s’est solidarisé avec la nature humaine, au point de se l’attacher indissolublement dans l’Incarnation – et Verbum caro factum est – désormais la nature humaine est réconciliée avec le Père.
Une fois pour toutes Jésus-Christ s’est offert, une fois pour toutes il a établi le pont entre l’humanité et la divinité. En un sens, sa mission d’intercesseur est achevée. Mais il est également vrai de dire qu’il veut se rendre présent à toute fraction du temps et de l’espace, afin de continuer sur terre, jusqu’à la consommation des siècles, sa fonction d’intercesseur. Et pour ce faire il compte sur nous, ses disciples. A nous, à notre tour, de rester sur la brèche, à nous de veiller. A nous de plaider, pour l’immense foule des hommes
sans doute, mais d’abord et très particulièrement pour la portion de terrain, de temps, d’humanité où c’est notre mission, justement, d’incarner le Christ et de poursuivre son intercession.
Plusieurs fois dans ma vie sacerdotale il m’a semblé que je surprenais la stratégie du Seigneur ; pour s’obliger à ne pas se détourner de telle famille coupable, de tel petit village déchristianisé, il suscite en leur sein une âme de prière. Et il bénit ce lieu, ce groupe humain où il possède un enfant chéri : c’est un jeune infirme, une humble paysanne, un pauvre curé de campagne tout brûlant de prières…
La prière de ces intercesseurs n’est autre que la prière du Christ lui même, sinon elle ne serait rien, elle ne serait pas. Prière du Christ, suscitée en eux par l’esprit du Christ. Cet Esprit dont un des noms propres est Paraclet : avocat, défenseur, intercesseur. Et sans doute l’Esprit Saint plaide pour ceux en qui il demeure, mais en même temps, en ceux-là et par ceux-là, il intercède pour l’humanité.
Ce que tous les intercesseurs, sous l’impulsion de l’Esprit, demandent en leur pauvre langage d’homme sur la terre ; le Christ glorieux est à la droite du Père pour le traduire dans le ciel : car il est vivant, le Seigneur ressuscité, et « il ne cesse d’intercéder pour nous », affirment saint Jean et saint Paul ( 1 Jn 2,1 ;
Hébr. 7,25).
Intercéder, c’est vraiment un des grands mots du vocabulaire de la prière.
C’est vraiment une très haute fonction ; elle témoigne à la fois d’un grand amour de Dieu et d’un grand amour des hommes ».
(N° spécial Anneau d’Or 135/136, mai -août 1967,
Présence à Dieu
Intercéder c’est bien plus que plaider la cause de ses
frères, c’est livrer passage à travers soi au tout-puissant
amour de Dieu, pressé d’instaurer son règne. »
Père Henri Caffarel
du Seigneur, il intercède pour le monde.
Tout homme devrait approfondir sans cesse sa recherche de Dieu et toujours de demander quels sont ses rapports avec Dieu
Dans l’Ancien Testament Dieu recherche le dialogue avec les hommes.
Abraham finit par intercéder auprès de Dieu en faveur des hommes, il sera le premier d'une "longue lignée d'intercesseurs"
C’est à partir de la faiblesse qui l’a rendu semblable à nous que le Christ peut nous communiquer toute la richesse et les grâces venues du Père, notre Dieu Le Christ qui se donne et intercède inlassablement pour les hommes.
Mais, laissons parler le Père Caffarel :
« Au plus chaud du jour, assis à l’entrée de sa tente, le patriarche levant les yeux apercois trois anges, ambassadeurs de Yahvé, Il se lève , se prosterne, leur offre l’hospitalité. Et Yahvé lui renouvelle la promesse d’une descendance et lui confie qu’il se rend, pour les juger, à Sodome et à Gomorrhe. Abraham se constitue alors devant Dieu l’avocat des villes criminelles, et sa prière, la première que nous lisons dans la Bible (Gen. 18), est une intercession en faveur des coupables, intercession confiante, habile, audacieuse, pathétique. Abraham inaugure ainsi la longue lignée des intercesseurs qui d’âge en âge se succèderont en Israël.
Quelques six siècles plus tard ce sera Moïse, l’intercesseur-type pourrait on dire. Quand, excédé de l’incrédulité de son peuple, Yahvé lui déclare :
« Maintenant, laisse-moi, ma colère va s’enflammer contre eux et je les exterminerai ! Mais de toi je ferai une grande nation » (Ex. 32, 10), nous comprenons dès les premiers mots que Moïse est celui qui ne laisse pas Dieu faire à son gré. Il n’accepte pas non plus de se désolidariser du peuple, fût-ce pour recevoir une régence plus glorieuse. Ce peuple, il en est le chef de par Dieu, il en sera donc le défenseur, l’intercesseur auprès du Seigneur lui-même.
Juges, rois, prophètes, à la suite d’Abraham et de Moïse, plaideront à leur tour pour ce peuple « à la nuque raide » et maintes fois obtiendront pour lui miséricorde. Mais malheur aux siècles où Dieu ne trouvera pas d’intercesseurs : j’ai cherché parmi eux quelqu’un qui construisît un mur et qui se tînt debout sur la brèche devant moi pour défendre le pays, et m’empêcher de le détruire et je n’ai trouvé personne » (Ez. 22, 30).
Admirez cette définition, ou plutôt ce portrait de l’intercesseur : c’est l’homme qui construit un rempart pour protéger ses frères, et veille sur la brèche par où le châtiment pourrait venir.
A vrai dire, tous ces intercesseurs de notre Bible ne sont que des figures, des ébauches du grand, du seul Intercesseur : Jésus-Christ. Le voilà, cet homme que Dieu cherche : debout sur la brèche, les deux bras étendus, il s’interpose. Plus efficacement qu’Abraham il plaide pour le monde criminel, et parce qu' il s’est solidarisé avec la nature humaine, au point de se l’attacher indissolublement dans l’Incarnation – et Verbum caro factum est – désormais la nature humaine est réconciliée avec le Père.
Une fois pour toutes Jésus-Christ s’est offert, une fois pour toutes il a établi le pont entre l’humanité et la divinité. En un sens, sa mission d’intercesseur est achevée. Mais il est également vrai de dire qu’il veut se rendre présent à toute fraction du temps et de l’espace, afin de continuer sur terre, jusqu’à la consommation des siècles, sa fonction d’intercesseur. Et pour ce faire il compte sur nous, ses disciples. A nous, à notre tour, de rester sur la brèche, à nous de veiller. A nous de plaider, pour l’immense foule des hommes
sans doute, mais d’abord et très particulièrement pour la portion de terrain, de temps, d’humanité où c’est notre mission, justement, d’incarner le Christ et de poursuivre son intercession.
Plusieurs fois dans ma vie sacerdotale il m’a semblé que je surprenais la stratégie du Seigneur ; pour s’obliger à ne pas se détourner de telle famille coupable, de tel petit village déchristianisé, il suscite en leur sein une âme de prière. Et il bénit ce lieu, ce groupe humain où il possède un enfant chéri : c’est un jeune infirme, une humble paysanne, un pauvre curé de campagne tout brûlant de prières…
La prière de ces intercesseurs n’est autre que la prière du Christ lui même, sinon elle ne serait rien, elle ne serait pas. Prière du Christ, suscitée en eux par l’esprit du Christ. Cet Esprit dont un des noms propres est Paraclet : avocat, défenseur, intercesseur. Et sans doute l’Esprit Saint plaide pour ceux en qui il demeure, mais en même temps, en ceux-là et par ceux-là, il intercède pour l’humanité.
Ce que tous les intercesseurs, sous l’impulsion de l’Esprit, demandent en leur pauvre langage d’homme sur la terre ; le Christ glorieux est à la droite du Père pour le traduire dans le ciel : car il est vivant, le Seigneur ressuscité, et « il ne cesse d’intercéder pour nous », affirment saint Jean et saint Paul ( 1 Jn 2,1 ;
Hébr. 7,25).
Intercéder, c’est vraiment un des grands mots du vocabulaire de la prière.
C’est vraiment une très haute fonction ; elle témoigne à la fois d’un grand amour de Dieu et d’un grand amour des hommes ».
(N° spécial Anneau d’Or 135/136, mai -août 1967,
Présence à Dieu
Intercéder c’est bien plus que plaider la cause de ses
frères, c’est livrer passage à travers soi au tout-puissant
amour de Dieu, pressé d’instaurer son règne. »
Père Henri Caffarel
lundi 14 février 2011
Aide-moi à faire un joli tricot .....
La vie est comme un tricot.
Dieu nous donne la laine et les aiguilles.
Il nous dit : "Tricote de ton mieux, une maille à la fois".
Une maille est une journée sur l'aiguille du temps.
Dans un mois, 30 ou 31 mailles, dans 10 ans, 3650 mailles…
Quelques unes sont à l'endroit, d'autres à l'envers.
Il y a aussi des mailles échappées mais on peut les reprendre.
La laine que Dieu m'a donnée pour tricoter ma vie
Est de toutes les couleurs.
Rose comme mes joies… Noire comme mes peines…
Grise comme mes doutes… Verte comme mes espérances…
Rouge comme mes affections… Bleue comme mes désirs…
Blanche comme mon don total à Celui que j'aime…
Seigneur, donne-moi le courage de terminer mon tricot
Afin que Tu le trouves digne de l'exposition éternelle
Des travaux des hommes.
F. Latraverse (Montréal)
Trouvé sur la feuille paroissiale des Contamines, mars 2001 (Hte-Savoie)
Dieu nous donne la laine et les aiguilles.
Il nous dit : "Tricote de ton mieux, une maille à la fois".
Une maille est une journée sur l'aiguille du temps.
Dans un mois, 30 ou 31 mailles, dans 10 ans, 3650 mailles…
Quelques unes sont à l'endroit, d'autres à l'envers.
Il y a aussi des mailles échappées mais on peut les reprendre.
La laine que Dieu m'a donnée pour tricoter ma vie
Est de toutes les couleurs.
Rose comme mes joies… Noire comme mes peines…
Grise comme mes doutes… Verte comme mes espérances…
Rouge comme mes affections… Bleue comme mes désirs…
Blanche comme mon don total à Celui que j'aime…
Seigneur, donne-moi le courage de terminer mon tricot
Afin que Tu le trouves digne de l'exposition éternelle
Des travaux des hommes.
F. Latraverse (Montréal)
Trouvé sur la feuille paroissiale des Contamines, mars 2001 (Hte-Savoie)
vendredi 11 février 2011
jeudi 10 février 2011
mercredi 9 février 2011
Une bienfaisante rosée : la prière
Saint Curé d’Ars
Mes enfants, vous avez un petit cœur, mais la prière l’élargit et le rend capable d’aimer Dieu. La prière est un avant-goût du ciel, un écoulement du paradis. Elle ne nous laisse jamais sans douceur. C’est un miel qui descend dans l’âme et adoucit tout. Les peines fondent devant une prière bien faite, comme la neige devant le soleil. La prière est une rosée embaumée ; mais il faut prier avec un cœur pur pour sentir cette rosée.
Voyez, mes enfants : le trésor d’un chrétien n’est pas sur la terre, il est dans le ciel. Eh bien ! Notre pensée doit aller où est notre trésor. L’homme a une belle fonction, celle de prier et d’aimer... Vous priez, vous aimez voilà le bonheur de l’homme sur la terre ! La prière n’est autre chose qu’une union avec Dieu. Quand on a le cœur pur et uni à Dieu, on sent en soi un baume, une douceur qui enivre, une lumière qui éblouit. Dans cette union intime, Dieu et l’âme sont comme deux morceaux de cire fondus ensemble ; on ne peut plus les séparer. C’est une chose bien belle que cette union de Dieu avec sa petite créature. C’est un bonheur qu’on ne peut comprendre. La prière fait passer le temps avec une grande rapidité, et si agréablement qu’on ne s’aperçoit pas de sa durée. Plus on prie, plus on veut prier.
On en voit qui se perdent dans la prière comme le poisson dans l’eau, parce qu’ils sont tout au bon Dieu. Dans leur cœur, il n’y a pas d’entre-deux. Ceux qui ne prient pas se courbent vers la terre, comme une taupe qui cherche à faire un trou pour s’y cacher. Ils sont tout terrestres, tout abrutis, et ne pensent qu’aux choses du temps... Celui qui ne prie pas est encore comme un de ces oiseaux pesants, qui ne peuvent s’élever dans les airs : s’ils volent un peu, ils retombent aussitôt et, grattant la terre, ils s’y enfoncent, s’en couvrent la tête et semblent ne prendre plaisir qu’à cela. Celui qui prie, au contraire, est un aigle intrépide, qui plane dans l’air et semble toujours vouloir se rapprocher du soleil. Voilà le bon chrétien sur les pas de la prière. Oh ! Que c’est beau, la prière ! L’homme qui est en grâce avec Dieu n’a pas besoin qu’on lui apprenne à prier, il connaît la prière comme naturellement.
Le bon Dieu n’a pas besoin de nous : s’il nous commande de prier, c’est qu’Il veut notre bonheur, et que notre bonheur ne peut se trouver que là. Lorsqu’il nous voit venir, il penche son cœur bien bas vers sa petite créature, comme un Père qui s’incline pour écouter son petit enfant qui lui parle.
Mes enfants, vous avez un petit cœur, mais la prière l’élargit et le rend capable d’aimer Dieu. La prière est un avant-goût du ciel, un écoulement du paradis. Elle ne nous laisse jamais sans douceur. C’est un miel qui descend dans l’âme et adoucit tout. Les peines fondent devant une prière bien faite, comme la neige devant le soleil. La prière est une rosée embaumée ; mais il faut prier avec un cœur pur pour sentir cette rosée.
Voyez, mes enfants : le trésor d’un chrétien n’est pas sur la terre, il est dans le ciel. Eh bien ! Notre pensée doit aller où est notre trésor. L’homme a une belle fonction, celle de prier et d’aimer... Vous priez, vous aimez voilà le bonheur de l’homme sur la terre ! La prière n’est autre chose qu’une union avec Dieu. Quand on a le cœur pur et uni à Dieu, on sent en soi un baume, une douceur qui enivre, une lumière qui éblouit. Dans cette union intime, Dieu et l’âme sont comme deux morceaux de cire fondus ensemble ; on ne peut plus les séparer. C’est une chose bien belle que cette union de Dieu avec sa petite créature. C’est un bonheur qu’on ne peut comprendre. La prière fait passer le temps avec une grande rapidité, et si agréablement qu’on ne s’aperçoit pas de sa durée. Plus on prie, plus on veut prier.
On en voit qui se perdent dans la prière comme le poisson dans l’eau, parce qu’ils sont tout au bon Dieu. Dans leur cœur, il n’y a pas d’entre-deux. Ceux qui ne prient pas se courbent vers la terre, comme une taupe qui cherche à faire un trou pour s’y cacher. Ils sont tout terrestres, tout abrutis, et ne pensent qu’aux choses du temps... Celui qui ne prie pas est encore comme un de ces oiseaux pesants, qui ne peuvent s’élever dans les airs : s’ils volent un peu, ils retombent aussitôt et, grattant la terre, ils s’y enfoncent, s’en couvrent la tête et semblent ne prendre plaisir qu’à cela. Celui qui prie, au contraire, est un aigle intrépide, qui plane dans l’air et semble toujours vouloir se rapprocher du soleil. Voilà le bon chrétien sur les pas de la prière. Oh ! Que c’est beau, la prière ! L’homme qui est en grâce avec Dieu n’a pas besoin qu’on lui apprenne à prier, il connaît la prière comme naturellement.
Le bon Dieu n’a pas besoin de nous : s’il nous commande de prier, c’est qu’Il veut notre bonheur, et que notre bonheur ne peut se trouver que là. Lorsqu’il nous voit venir, il penche son cœur bien bas vers sa petite créature, comme un Père qui s’incline pour écouter son petit enfant qui lui parle.
vendredi 4 février 2011
La vie , une broderie...........
Pourquoi le mal dans le monde ?
Réponse :
‑ Écoute-moi bien : imaginons une mère en train de broder. Son petit enfant assis sur un tabouret bas, la regarde travailler ; mais par-dessous, à l'envers. Il voit les nœuds de la broderie, l'enchevêtrement des fils...
« Et il dit : "Maman, qu'est-ce que tu fais ? Ton travail est tout embrouillé !"
« Alors sa mère abaisse le tissu et lui montre le bon côté de la broderie. Chaque couleur est à sa place et la variété des fils se fond dans l'harmonie du dessin.
Nous, nous voyons l'envers de la broderie. Nous sommes assis sur le petit tabouret...
Padre Pio
mercredi 2 février 2011
Merveilleuse Présentation
Maintenant, Ô Maître souverain,
Tu peux laisser ton serviteur s'en aller
en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu ton Salut,
que Tu préparais à la face des peuples:
Lumière qui se révèle aux nations et
donne gloire à ton peuple Israël
Syméon s'en va vers la mort. Il ne verra pas ce que Dieu prévoit.
Mais il en voit le Germe et cela le réjouit. Il a cru en la réalisation
de la promesse pour lui . Il continue de croire à la réalisation de
la promesse pour les autres.
Je demande à Dieu d'augmenter ma foi en sa Parole, pour moi et
pour les autres. E t je me réjouis de ce que Dieu fera.
Syméon reconnaît ce qui était alors impensable : Dieu veut sauver
tous les hommes, de toutes les religions et tous les pays. Le
peuple élu , comme les païens, sont destinataires de la Bonne
Nouvelle apportée par Jésus.
A mon tour, j'entre dans cette assurance : tous sont sauvés.
Je peux terminer ma prière en demandant à Dieu de m'établir
dans cette Paix promise à toute chair.
Tu peux laisser ton serviteur s'en aller
en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu ton Salut,
que Tu préparais à la face des peuples:
Lumière qui se révèle aux nations et
donne gloire à ton peuple Israël
Syméon s'en va vers la mort. Il ne verra pas ce que Dieu prévoit.
Mais il en voit le Germe et cela le réjouit. Il a cru en la réalisation
de la promesse pour lui . Il continue de croire à la réalisation de
la promesse pour les autres.
Je demande à Dieu d'augmenter ma foi en sa Parole, pour moi et
pour les autres. E t je me réjouis de ce que Dieu fera.
Syméon reconnaît ce qui était alors impensable : Dieu veut sauver
tous les hommes, de toutes les religions et tous les pays. Le
peuple élu , comme les païens, sont destinataires de la Bonne
Nouvelle apportée par Jésus.
A mon tour, j'entre dans cette assurance : tous sont sauvés.
Je peux terminer ma prière en demandant à Dieu de m'établir
dans cette Paix promise à toute chair.
mardi 1 février 2011
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