Avant de prendre ma plume, je me suis agenouillée devant la statue de Marie: celle qui a donné à ma famille tant de preuves des maternelles préférences de la Reine du ciel ; je l'ai suppliée de guider ma main, afin de ne pas tracer une seule ligne qui ne lui soit agréable............

Comme le dit saint Paul:" Dieu a pitié de qui il veut, et il fait miséricorde à qui il veut faire miséricorde. Ce n'est donc pas l'ouvrage de celui qui veut , ni de celui qui court , mais de Dieu qui fait miséricorde." Thérèse de l'Enfant Jésus

vendredi 17 novembre 2017

Vers le Saint Sépulcre ........






Le guide nous emmène à la Cathédrale Arménienne de Saint Jacques ( St James ) -









 La cathédrale est  fermée mais nous découvrons à l'extérieur - des belles peintures - des croix arméniennes - des faïences dont une avec la Vierge Marie .........











































Ensuite , nous commençons un chemin de Croix dans la ville de Jérusalem , étrange ce chemin de Croix , au milieu des gens , dans les souks .

Nous sommes sur la Via Dolorosa -




















Chemin bruyant, sans doute que Jésus a vécu ce chemin entouré de beaucoup de personnes , et dans une résonnante bruyante où s'ajoutait les cris de haines et les pierres qui pleuvaient sur Lui , en plus de la fatigue de porter la Croix , dans une faiblesse humaine après avoir vécu une nuit douloureuse ........













Nous quittons le bruit des souks et des rues pour nous asphyxier dans celui du Saint Sépulcre ......
C'est affreux ......















Comment peut-on se recueillir dans cette Basilique qui regroupe le Rocher du Golgota et le Tombeau du Christ -








Bien sûr , ce n'est plus comme au temps de Jésus et la Basilique est ouverte à six groupes religieux chrétiens d'où cette cohorte bruyante : des Catholiques Romains , des Grecs Orthodoxes , des Arméniens Apostoliques , des Syriaques Orthodoxes , des Coptes ,des Ethiopiens Orthodoxes , et chacun à son temps de célébrations et tout concorde très bien ..........

Avec Christian , nous allons au Calvaire - une attente se fait - pas facile de se mettre en prières , mais petit à petit , nous arrivons au pied de la Croix .



 C’était le jour de la Préparation de la Pâque, vers la sixième heure, environ midi. Pilate dit aux Juifs : « Voici votre roi. »
 Alors ils crièrent : « À mort ! À mort ! Crucifie-le ! » Pilate leur dit : « Vais-je crucifier votre roi ? » Les grands prêtres répondirent : « Nous n’avons pas d’autre roi que l’empereur. »
Alors, il leur livra Jésus pour qu’il soit crucifié. Ils se saisirent de Jésus.
 Et lui-même, portant sa croix, sortit en direction du lieu dit Le Crâne (ou Calvaire), qui se dit en hébreu Golgotha.
 C’est là qu’ils le crucifièrent, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu.


Pilate avait rédigé un écriteau qu’il fit placer sur la croix ; il était écrit : « Jésus le Nazaréen, roi des Juifs. »
 Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau, parce que l’endroit où l’on avait crucifié Jésus était proche de la ville, et que c’était écrit en hébreu, en latin et en grec.
 Alors les grands prêtres des Juifs dirent à Pilate : « N’écris pas : “Roi des Juifs” ; mais : “Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs”. »
 Pilate répondit : « Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit. »
Quand les soldats eurent crucifié Jésus, ils prirent ses habits ; ils en firent quatre pats, une pouhaque soldat. Ils prirent aussi la tunique ; c’était une tunique sans couture, tissée tout d’une pièce de haut en bas.
 Alors ils se dirent entre eux : « Ne la déchirons pas, désignons par le sort celui qui l’aura. » Ainsi s’accomplissait la parole de l’Écriture : Ils se sont partagé mes habits ; ils ont tiré au sort mon vêtement. C’est bien ce que firent les soldats.
 Or, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine.
 Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. »
 Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui.
 Après cela, sachant que tout, désormais, était achevé pour que l’Écriture s’accomplisse jusqu’au bout, Jésus dit : « J’ai soif. »
 Il y avait là un récipient plein d’une boisson vinaigrée. On fixa donc une éponge remplie de ce vinaigre à une branche d’hysope, et on l’approcha de sa bouche.
 Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : « Tout est accompli. » Puis, inclinant la tête, il remit l’esprit.
 Comme c’était le jour de la Préparation (c’est-à-dire le vendredi), il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat, d’autant plus que ce sabbat était le grand jour de la Pâque. Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu’on enlève les corps après leur avoir brisé les jambes.
 Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier, puis de l’autre homme crucifié avec Jésus.
 Quand ils arrivèrent à Jésus, voyant qu’il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes,
 mais un des soldats avec sa lance lui perça le côté ; et aussitôt, il en sortit du sang et de l’eau.
 Celui qui a vu rend témoignage, et son témoignage est véridique ; et celui-là sait qu’il dit vrai afin que vous aussi, vous croyiez.
 Cela, en effet, arriva pour que s’accomplisse l’Écriture : Aucun de ses os ne sera brisé.
 Un autre passage de l’Écriture dit encore : Ils lèveront les yeux vers celui qu’ils ont transpercé.
Après cela, Joseph d’Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate de pouvoir enlever le corps de Jésus. Et Pilate le permit. Joseph vint donc enlever le corps de Jésus.
Nicodème – celui qui, au début, était venu trouver Jésus pendant la nuit – vint lui aussi ; il apportait un mélange de myrrhe et d’aloès pesant environ cent livres.
 Ils prirent donc le corps de Jésus, qu’ils lièrent de linges, en employant les aromates selon la coutume juive d’ensevelir les morts.
 À l’endroit où Jésus avait été crucifié, il y avait un jardin et, dans ce jardin, un tombeau neuf dans lequel on n’avait encore déposé personne.
 À cause de la Préparation de la Pâque juive, et comme ce tombeau était proche, c’est là qu’ils déposèrent Jésus.


Adorer , l'endroit où la Croix fût plantée et que le Sang de Jésus Crucifié à couler- se mettre à genoux et avancer , adorer où le Sang de Jésus à purifier le monde - puis reculer à genoux - un temps merveilleux que le Seigneur donne ..........







Après , nous aimerions aller aussi au Tombeau  - pour y arriver , nous passons devant la pierre où Jésus a été déposé après sa Mort .











Nous arrivons autour du Saint Sépulcre et commençons notre attente qui va durer plus de deux heures , dans le brouhaha - la cohue - et l'hystérie - nous étions comprimés dans cette foule .


Arrive le moment , qui ne se fait même pas dans le calme : pourtant , c'est le Tombeau du Christ .......

Qu'es-tu venu chercher , ici ? Qu'es-tu venu voir ?

Eh bien !!!  un endroit tout noir où on te dit de t'incliner pour adorer , je pense une pierre .
Que c'est dommage , que cet endroit de la Résurrection de Jésus , ne soit pas tout blanc , tout éclairé , plein de clarté ....... car les Orthodoxes, eux ,
prient la Résurrection dans cette Basilique ........




Dans le Tombeau de Jésus , il est bien d'adorer mais il faut aller de l'avant
 - car Jésus est Ressuscité et Il ne veut pas que nous restions dans les peines de la mort .



Jésus est Ressuscité - Il est vraiment Ressuscité !!!  pour que par cette Vie donnée , nous vivions ,nous aussi , en Ressuscité ..... 
- heureux chaque jour , pour vivre notre Foi , de Chrétiens Ressuscités

















Pendant cette attente , le groupe célébrait la messe dans la 
chapelle des Franscicains .








Dans cette chapelle où l'on vénère l'apparition de Jésus à Marie Madeleine , le jour de Pâques .




La messe n'était pas terminée et ce fût la Joie de Pâques que je reçus - Jésus me montrait qu'il ne faut pas s'arrêter au Tombeau , que Lui , Il est Vivant dans l'Eucharistie .........



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